Le jeune Jean-Marie Déguignet au château de Lezergué en 1848
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Version du 26 juin ~ mezheven 2021 à 08:51
Souvenirs de jeunesse au vieux château de Lezergué en Ergué-Gabéric, extraits de l'intégrale des Mémoires d'un paysan bas-breton, édition An Here, 2001.
Autres lectures : « » ¤ « DÉGUIGNET Jean-Marie - Histoire de ma vie, l'Intégrale » ¤ « Les 24 cahiers manuscrits de la seconde série des mémoires de Jean-Marie Déguignet » ¤ « BABONNEAU Christophe et BETBEDER Stéphane - Mémoires d'un paysan bas-breton Tome 1 » ¤ « Les de La Marche, nobles de Kerfort et de Lezergué, 17e-18e siècles » ¤ « Présentation et historique du manoir de Lezergué » ¤ « Histoire de Lezergué et de ses occupants » ¤ « LE GUENNEC Louis - Nos vieux manoirs à légendes » ¤ « 1511 - Mandement de la Chancellerie pour relever les patibulaires de Lezergué-Lestonan » ¤ « 1540-1646 - Adveus de Lesergué extraicts de l'inventaire de Kempercorantin » ¤ |
Présentation
Jean-Marie Déguinet a 14 ans lorsque ses parents s'installent dans une petite maison de journalier agricole, un penn-ti Le logement n'y est pas pour autant gratuit : « Le propriétaire de ce château faisait payer ces petits pen-ty par un certain nombre de journées de travail, tant pendant les semailles et tant pendant la moisson. ». Les Crédou ... cultivateur tyrannique ... Les de La Marche ... les patibulaires chapelle Saint-Joachim ... le trésor ... Louis Le Guennec ... |
Transcriptions
Pages 91-92 :
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Pages 92-93 :
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Documents originaux
Cahier manuscrit n° 3 : [PDF]
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BD "Le Mendiant" tome 1 : BABONNEAU Christophe et BETBEDER Stéphane - Mémoires d'un paysan bas-breton Tome 1
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Annnotations
- Pennty, penn-ti : littéralement « bout de maison », désignant les bâtisses, composées généralement d'une seule pièce, où s'entassaient avec leur famille les ouvriers agricoles et journaliers de Basse-Bretagne (Revue de Paris 1904, note d'Anatole Le Braz). Par extension, le penn-ty est le journalier à qui un propriétaire loue, ou à qui un fermier sous-loue une petite maison et quelques terres, l'appellation étant synonyme d'une origine très modeste. [Terme BR] [Lexique BR] [Ref.↑ 1,0 1,1 1,2]
- Fourches patibulaires, s.f.pl : colonnes de pierre dotées d'une traverse de bois où les condamnés à la mort sont pendus et exposés à la vue des passants. Elles ne servent donc qu'aux supplices capitaux, dont les exécutions ne se faisaient autrefois que hors les villes. Seul le seigneur Haut Justicier a le droit d'avoir des fourches patibulaires (ou gibets), puisqu'il a le droit de condamner un criminel à mort. À l'égard du nombre des piliers des fourches patibulaires, il y en a à 2, à 3, à 4 ou à 6, selon le titre et la qualité des fiefs qui ont droit d'en avoir. Les simples seigneurs Hauts Justiciers n'ont ordinairement le droit d'avoir que des fourches patibulaires à 2 piliers, s'ils ne sont fondés en titre ou possession immémoriale. Les fourches à 3 piliers n'appartiennent de droit qu'aux seigneurs châtelains; celles à 4 piliers n'appartiennent qu'aux barons ou vicomtes ; celles à 6 piliers n'appartiennent qu'aux Comtes. Source : "La justice seigneuriale et les droits seigneuriaux" de Claude-Joseph de Ferrière. [Terme] [Lexique] [Ref.↑]
- Pièce de théâtre Les Pilules du diable, féerie en 3 actes et 20 tableaux, par MM. Ferdinand Laloue, Anicet-Bourgeois et Laurent. (Paris, Cirque Olympique, 16 février 1839.) [Ref.↑]
- Kristoc'h du : Christophe le noir. Surnom de Christophe Crédou, né le 10 pluviose an V (29 janvier 1797), époux de Marie-Barbe Le Roux, cultivateur à Lez-Ergué (où furent journaliers les Déguignet). Il décéda le 17 septembre 1873 à Lez-Ergué. [Ref.↑]
- Div benn du. Marie-Barbe Crédou née le 26 janvier 1824, et Marie-Josèphe Crédou née le 5 août 1825. François-Marie, né le 14 novembre 1828. Laurence-Catherine, née le 02 septembre 1830. Alain Christophe, né le 10 septembre 1832, Marie-Louise née en 1834 ou 35. [Ref.↑]
Thème de l'article : Ecrits de Jean-Marie Déguignet Date de création : Juin 2021 Dernière modification : 26.06.2021 Avancement : [Développé] |