DOUGUET Jean-François - Les municipalités d'Ergué-Gabéric sous la Révolution - GrandTerrier

DOUGUET Jean-François - Les municipalités d'Ergué-Gabéric sous la Révolution

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-deux communes dans la Révolution</i> », Jean-François Douguet, ISBN 2-9505627-0-8, publié à compte d'auteur en 1991, 241 pages.</ref>, Jean-François Douguet, passionné de l'histoire glazik et melenik, a épluché les archives pour comprendre la période agitée de 1789-1800. +deux communes dans la Révolution</i> », Jean-François Douguet, ISBN 2-9505627-0-8, publié à compte d'auteur en 1991, 241 pages.</ref>, Jean-François Douguet, passionné de l'histoire glazik et melenik, a épluché les archives pour comprendre la période agitée de 1789-1800 sur le territoire gabéricois.
-Son étude est publiée dans le numéro Keleiier de juin 2011 de l'association Arkae où il dévoile notamment les faits suivants :+Son étude est publiée dans le numéro Keleier de juin 2011 de l'association Arkae où il dévoile notamment les faits suivants :
-* En 1790 la commune d'Ergué-Gabéric fut rattachée au canton de Rosporden et ceci fut contestée à la fois par les élus d'Elliant (qui ne voulaient pas que les gabéricois ne traverse leur territoire pour se rendre au nouveau chef-lieu) et par les gabéricois (qui préféraient être rattachés à Quimper).+* En 1790 la commune d'Ergué-Gabéric fut rattachée au canton de Rosporden et ceci fut contestée à la fois par les élus d'Elliant (qui ne voulaient pas que leurs voisins ne traversent leur territoire pour se rendre au nouveau chef-lieu) et par les gabéricois (qui préféraient être rattachés à Quimper).
* En juin 1791, après une hésitation (le 14 la commune d'Elliant est désignée chef-lieu d'Ergué-Gabéric), le 18 c'est finalement un rattachement d'Ergué-Gabéric à Quimper qui est entériné. * En juin 1791, après une hésitation (le 14 la commune d'Elliant est désignée chef-lieu d'Ergué-Gabéric), le 18 c'est finalement un rattachement d'Ergué-Gabéric à Quimper qui est entériné.
* Le 17 avril 1795, lors de la nomination de la commune d'Ergué-Armel comme municipalité cantonale, cela entraîne la disparition de la municipalité d'Ergué-Gabéric jusqu'en 1800 (seuls sont maintenus un agent municipal et un adjoint). * Le 17 avril 1795, lors de la nomination de la commune d'Ergué-Armel comme municipalité cantonale, cela entraîne la disparition de la municipalité d'Ergué-Gabéric jusqu'en 1800 (seuls sont maintenus un agent municipal et un adjoint).
-Autres lectures : {{Tpg|1789 à 1799 - Les dates clefs de la Révolution à Ergué-Gabéric}}{{Tpg|1794 - Réquisition extraordinaire des chevaux de l'an 2 de la République}}{{Tpg|1793 - Levée de 12 citoyens pour le contingent communal}}{{Tpg|1791 - Rattachement à Ergué-Gabéric de Kerampensal, Cleuyou et Kerelan}}+Autres lectures : {{Tpg|1790-1791 - Oppositions elliantaises et gabéricoises au canton de Rosporden}}{{Tpg|1789 à 1799 - Les dates clefs de la Révolution à Ergué-Gabéric}}{{Tpg|1794 - Réquisition extraordinaire des chevaux de l'an 2 de la République}}{{Tpg|1793 - Levée de 12 citoyens pour le contingent communal}}{{Tpg|1791 - Rattachement à Ergué-Gabéric de Kerampensal, Cleuyou et Kerelan}}
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==Extraits== ==Extraits==
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Mais cela ne convient pas non plus aux Gabéricois qui le font savoir par une requête adressée aux administrateurs du directoire départemental. Si la municipalité appuie les pétitions d’Elliant pour que le chef-lieu de canton soit au bourg de cette commune, plus proche, elle ne manque pas de faire observer aussi qu’elle préférerait être rattachée au canton de Quimper : Mais cela ne convient pas non plus aux Gabéricois qui le font savoir par une requête adressée aux administrateurs du directoire départemental. Si la municipalité appuie les pétitions d’Elliant pour que le chef-lieu de canton soit au bourg de cette commune, plus proche, elle ne manque pas de faire observer aussi qu’elle préférerait être rattachée au canton de Quimper :
-« Ce jour 28 novembre 1790 le conseil général de la paroisse, assemblé dans la personne de Jérôme Kgourlai maire, de René Le Gouerou, de Hervé Lizien, d’Allain Rannou, de Jean Gourmelen officiers municipaux, de Jean Lozac’h, Guénolé Laurent, François Le Poupon, Louis Le Naour, Hervé Le Pétillon, Louis Le Bihan, tous notables5. Présent Augustin Gélard procureur de la commune… a arrêté de suplié messieurs les administrateurs du département de finistère et messieurs les administrateurs du district de fixer irrévocablement le chef lieu du canton au bourg d’elliant [qui] est plus au centre du canton que Rosporden ...+« Ce jour 28 novembre 1790 le conseil général de la paroisse, assemblé dans la personne de Jérôme Kgourlai maire, de René Le Gouerou, de Hervé Lizien, d’Allain Rannou, de Jean Gourmelen officiers municipaux, de Jean Lozac’h, Guénolé Laurent, François Le Poupon, Louis Le Naour, Hervé Le Pétillon, Louis Le Bihan, tous notables <sup><b>5</b></sup>. Présent Augustin Gélard procureur de la commune… a arrêté de suplié messieurs les administrateurs du département de finistère et messieurs les administrateurs du district de fixer irrévocablement le chef lieu du canton au bourg d’elliant [qui] est plus au centre du canton que Rosporden ...
... Le conseil général de la commune a aussi arrêté de supplier messieurs les administrateurs du département et du district de Quimper de réunir la paroisse d'Ergué-Gabéric au canton de Quimper dont elle est beaucoup plus près que d'Elliant ; les villages d'Ergué les plus voisins du bourg d'Elliant en sont distants de cinq quarts de lieue, et les plus éloignés à trois fortes lieues, ajoutez les mauvais chemins de cette paroisse à Elliant ; au lieu que plusieurs villages d'Ergué-Gabéric ne sont qu'à une demie lieue de Quimper, et nos villages les plus éloignés de Quimper n'en sont distants que de deux lieues au plus. Nous avons tout à gagner si nous étions réunis au canton de Quimper; nous préférons donc le canton de Quimper à celui d'Elliant, et celui d'Elliant à celui de Rosporden ». ... Le conseil général de la commune a aussi arrêté de supplier messieurs les administrateurs du département et du district de Quimper de réunir la paroisse d'Ergué-Gabéric au canton de Quimper dont elle est beaucoup plus près que d'Elliant ; les villages d'Ergué les plus voisins du bourg d'Elliant en sont distants de cinq quarts de lieue, et les plus éloignés à trois fortes lieues, ajoutez les mauvais chemins de cette paroisse à Elliant ; au lieu que plusieurs villages d'Ergué-Gabéric ne sont qu'à une demie lieue de Quimper, et nos villages les plus éloignés de Quimper n'en sont distants que de deux lieues au plus. Nous avons tout à gagner si nous étions réunis au canton de Quimper; nous préférons donc le canton de Quimper à celui d'Elliant, et celui d'Elliant à celui de Rosporden ».
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Ces nouvelles mesures sont appliquées lors des élections du 9 février 1794 (elles auraient dû se dérouler en décembre 1793), dont nous ne retrouvons qu’une seule évocation, dans l’état civil, à l’occasion du changement d’officier public, Jean Le Jour, laissant la place à Rolland Coatmen, curé constitutionnel, «membre du conseil général de la commune, élu le 24 du présent mois de pluviôse (9 février 1794) pour rédiger les actes destinés à constater les décès… ». Cette élection devait aussi donner lieu à l’élection d’un nouveau maire (sauf si François Laurent a été élu en décembre 1792), tout comme le nouvel homme fort de la commune, l’agent national. Quant à Jean Le Jour on le retrouve comme officier municipal lors de l’estimation de la vente de la chapelle de Kerdévot comme bien national le 1er novembre 1794. Ces nouvelles mesures sont appliquées lors des élections du 9 février 1794 (elles auraient dû se dérouler en décembre 1793), dont nous ne retrouvons qu’une seule évocation, dans l’état civil, à l’occasion du changement d’officier public, Jean Le Jour, laissant la place à Rolland Coatmen, curé constitutionnel, «membre du conseil général de la commune, élu le 24 du présent mois de pluviôse (9 février 1794) pour rédiger les actes destinés à constater les décès… ». Cette élection devait aussi donner lieu à l’élection d’un nouveau maire (sauf si François Laurent a été élu en décembre 1792), tout comme le nouvel homme fort de la commune, l’agent national. Quant à Jean Le Jour on le retrouve comme officier municipal lors de l’estimation de la vente de la chapelle de Kerdévot comme bien national le 1er novembre 1794.
-Enfin, après plus de trois ans d’incertitude, durant la période la plus trouble de la Révolution, un arrêté du 26 pluviôse an III (14 février 1795) des représentants du Peuple «prez les porte et côtes de Brest et de l’Orien », Tréhouart et Faure, nous renseignent à nouveau sur la composition du conseil municipal, probablement élu quelques jours plus tôt8: Jean Riou, de Tréodet, maire – René Le Guenno, de Sulvintin, Jean Le Gouzien, de Niverrot, René Gouerou, de Lec, Jean Jaouen (dont le nom est ajouté à la place de celui de Jean Le Jour qui est rayé), Allain Rannou, de Kourvois, officiers municipaux – Jean Credou, de Créac’h Ergué, agent national – Jean Le Signour, Denis Huitric, Joseph Le Roux, Pierre Lozach, Louis Le Naour, Louis Maugen, Guénolé Laurent, René Le Maguer, Jean Knevez, Louis Michelet, de Knogen, notables – Yves Kgourlai, secrétaire-greffier. Allain Rannou est aussi l’officier public.+Enfin, après plus de trois ans d’incertitude, durant la période la plus trouble de la Révolution, un arrêté du 26 pluviôse an III (14 février 1795) des représentants du Peuple «prez les porte et côtes de Brest et de l’Orien », Tréhouart et Faure, nous renseignent à nouveau sur la composition du conseil municipal, probablement élu quelques jours plus tôt <sup><b>8</b></sup> : Jean Riou, de Tréodet, maire – René Le Guenno, de Sulvintin, Jean Le Gouzien, de Niverrot, René Gouerou, de Lec, Jean Jaouen (dont le nom est ajouté à la place de celui de Jean Le Jour qui est rayé), Allain Rannou, de Kourvois, officiers municipaux – Jean Credou, de Créac’h Ergué, agent national – Jean Le Signour, Denis Huitric, Joseph Le Roux, Pierre Lozach, Louis Le Naour, Louis Maugen, Guénolé Laurent, René Le Maguer, Jean Knevez, Louis Michelet, de Knogen, notables – Yves Kgourlai, secrétaire-greffier. Allain Rannou est aussi l’officier public.
D’anciens personnages de premier plan, comme Jérôme Kergourlai, Jean Le Jour, Augustin Géllart, sans doute contraints de se retirer par le renouvellement imposé par la constitution, et peut-être aussi « victimes » d’une épuration locale à la suite de la chute de Robespierre (27 juillet 1794), ne font plus partie du conseil général de la commune. Par contre les nouvelles lois électorales de 1793 ont permis l’élection comme officier municipal de Jean Gouzien, qui n’était pas citoyen actif en 1790. Joseph Le Roux et Louis Maugen quant à eux n’étaient pas recensés sur la commune. D’anciens personnages de premier plan, comme Jérôme Kergourlai, Jean Le Jour, Augustin Géllart, sans doute contraints de se retirer par le renouvellement imposé par la constitution, et peut-être aussi « victimes » d’une épuration locale à la suite de la chute de Robespierre (27 juillet 1794), ne font plus partie du conseil général de la commune. Par contre les nouvelles lois électorales de 1793 ont permis l’élection comme officier municipal de Jean Gouzien, qui n’était pas citoyen actif en 1790. Joseph Le Roux et Louis Maugen quant à eux n’étaient pas recensés sur la commune.

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DOUGUET (Jean-François), « Les municipalités d'Ergué-Gabéric sous la Révolution », dans Keleier juin 2011, Arkae, -, 6
Titre : Les municipalités d'Ergué-Gabéric sous la Révolution
Auteur : DOUGUET Jean-François Type : Article
Edition : Arkae Publication : Keleier juin 2011
Impression : - Année : 2011
Pages : 6 Référence : N/A

[modifier] Notice bibliographique

Couverture

Comme il l'a déjà fait pour la commune d'Elliant [1], Jean-François Douguet, passionné de l'histoire glazik et melenik, a épluché les archives pour comprendre la période agitée de 1789-1800 sur le territoire gabéricois.

Son étude est publiée dans le numéro Keleier de juin 2011 de l'association Arkae où il dévoile notamment les faits suivants :

  • En 1790 la commune d'Ergué-Gabéric fut rattachée au canton de Rosporden et ceci fut contestée à la fois par les élus d'Elliant (qui ne voulaient pas que leurs voisins ne traversent leur territoire pour se rendre au nouveau chef-lieu) et par les gabéricois (qui préféraient être rattachés à Quimper).
  • En juin 1791, après une hésitation (le 14 la commune d'Elliant est désignée chef-lieu d'Ergué-Gabéric), le 18 c'est finalement un rattachement d'Ergué-Gabéric à Quimper qui est entériné.
  • Le 17 avril 1795, lors de la nomination de la commune d'Ergué-Armel comme municipalité cantonale, cela entraîne la disparition de la municipalité d'Ergué-Gabéric jusqu'en 1800 (seuls sont maintenus un agent municipal et un adjoint).

Autres lectures : « 1790-1791 - Oppositions elliantaises et gabéricoises au canton de Rosporden » ¤ « 1789 à 1799 - Les dates clefs de la Révolution à Ergué-Gabéric » ¤ « 1794 - Réquisition extraordinaire des chevaux de l'an 2 de la République » ¤ « 1793 - Levée de 12 citoyens pour le contingent communal » ¤ « 1791 - Rattachement à Ergué-Gabéric de Kerampensal, Cleuyou et Kerelan » ¤ 

[modifier] Extraits

[modifier] Les nouvelles institutions

« Le 16 novembre 1789 l’Assemblée constituante, après avoir créé les départements et les districts, décide de les subdiviser en cantons et communes. La loi du 14 décembre suivant précise les modalités d’administration et d’élections des nouvelles organisations municipales.

Chaque commune doit être dirigée par un corps municipal, composé d’officiers municipaux, d’un nombre variable selon sa taille, d’un procureur et d’un maire. Ce corps municipal appartient à un conseil général composé d’un nombre de notables double de celui du corps municipal. Chaque fonction donne lieu à une élection séparée. Le maire et le procureur sont élus pour deux ans, rééligibles qu’après un délai de deux ans sans mandat. Les officiers municipaux et les notables, élus aussi pour deux ans, sont renouvelables par moitié chaque année.

Les attributions des nouvelles municipalités sont considérables : gestion des biens communs, budget, travaux publics, voirie, répartition des impôts, mais aussi un pouvoir réglementaire, notamment dans le domaine économique (droit de taxe) et de police (droit de requérir la force publique). Le maire peut aussi proclamer la loi martiale en arborant un drapeau rouge sur la façade de la mairie, mais il ne peut quitter le territoire de la commune sans autorisation.

 

Quant au procureur, il représente à la fois le gouvernement et la population. Il est tantôt avocat, tantôt accusateur public, et il a voix consultative dans toutes les affaires. C’est un préfet communal avant la lettre, ce qui lui donne un pouvoir considérable… et il peut circuler librement.

Pour être électeur il faut être citoyen actif, c’est-à-dire être de nationalité française, avoir plus de vingt cinq ans, être domicilié dans la commune depuis au moins un an, ne pas être en état de domesticité, ni en situation de faillite et payer un impôt au moins égal à trois jours de salaire d’un ouvrier. En 1790 cette contribution est fixée à quinze sols la journée. Pour être éligible il faut réunir les mêmes conditions, mais l’impôt est fixé à dix jours de travail. Et seuls les hommes ont droit de vote.

[modifier] Jérôme Kgourlai, premier maire… de la paroisse

Cent trente-et-un Gabéricois, soit un peu plus de 8% de la population, sont appelés à voter début 1790 pour élire cinq officiers municipaux (pour les communes ayant entre 500 et 3000 habitants) et dix notables, plus le maire et le procureur.

§ Les procès-verbaux de ces premières élections ...

[modifier] Annotations

  1. Livre « Elliant, Tourc'h deux communes dans la Révolution », Jean-François Douguet, ISBN 2-9505627-0-8, publié à compte d'auteur en 1991, 241 pages. [Ref.↑]


Thème de l'article : Fiche bibliographique d'un livre ou article couvrant un aspect du passé d'Ergué-Gabéric

Date de création : Août 2014    Dernière modification : 19.11.2021    Avancement : Image:Bullgreen.gif [Fignolé]