PÉRON Goulven - Cantiques de Kerdévot et de Pontdouar
Un article de GrandTerrier.
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[modifier] Notice bibliographique
Autres lectures : « FAVÉ Antoine - L'ancien cantique de Kerdévot » ¤ « Les miracles de l'ancien cantique Itron Varia Kerdevot de 1712 » ¤ « Cantic Spirituel e gloar an Itron Varia Kerdevot ha diou addition » ¤ « KERDÉVOT 89, Association - Kerdévot, livre d'or du 5e centenaire » ¤ « A propos d'une pierre commémorative de la Peste d'Elliant » ¤ « PÉRON Goulven - Le clergé de Laz de 1754 à 1800 » ¤ Dans le numéro 215 de juillet-août 2009 de Musique bretonne, revue de l'association Dastum, l'infatigable Goulven Peron du Centre généalogique et historique du Poher fait le rapprochement entre ces deux cantiques en langue bretonne du début du 18e siècle évoquant une chapelle d'Ergué-Gabéric et de Trégourez. À l'instar de l'abbé Favé qui avait étudié le cantique de Kerdévot en 1891, il présente l'hypothèse que les deux cantiques aient pu être écrits par une seule et même personne. En 1893 Antoine Favé dans son article sur une pierre commémorative de la peste à Kerdévot était presque catégorique : « L'auteur du vieux Cantique de Kerdévot, évidemment le même que celui qui fit le cantique de Pontouar en Trégourez ». Goulven Péron note dans son article : « Les deux cantiques ont en commun de faire de leur chapelle respective une destination de pèlerinage pour les marins. Le cantique de Pontdouar, chapelle pourtant située à Trégourez dans les Montagnes Noires, dit ainsi : "Les matelots viennent invoquer la Sainte Vierge Avant de partir sur la mer ou en remerciement à leur retour". Le cantique de Kerdévot fait mention d'un marin de Quimper, ou plutôt d'un soldat embarqué à bord de vaisseau ... de Duguay-Trouin ... ». |
Extrait de l'ancien cantique de Pontdouar (fragments publiés en français par Louis Le Guennec
Extrait du nouveau cantique de Pontdouar :
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Extraits du cantique de Kerdévot :
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[modifier] Annotations
- « Souvenirs bas-bretons », Louis Le Guennec, 1938. [Ref.↑]
- Fabrique, s.f. : désigne, avant la loi de séparation de l'église et de l'état, tantôt l'ensemble des biens affectés à l'entretien du culte catholique, tantôt le corps politique spécial chargé de l'administration de ces biens, ce au niveau de l'église paroissiale ou d'une chapelle. Les paroissiens trésoriers membres de ce corps étaient les « fabriciens », les « marguilliers » ou plus simplement jusqu'au 18e siècle les « fabriques » (s.m.). Les fabriques sont supprimées par la loi du 9 décembre 1905 et remplacées par des associations de fidèles. Source : site Internet restarhorniou. [Terme] [Lexique] [Ref.↑ 2,0 2,1]
Thème de l'article : Fiche bibliographique d'un livre ou article couvrant un aspect du passé d'Ergué-Gabéric Date de création : août 2009 Dernière modification : 15.05.2016 Avancement : [Fignolé] |
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