1914-1919 - Les actions d'éclat et la légion d'honneur posthume de Jean Lazou - GrandTerrier

1914-1919 - Les actions d'éclat et la légion d'honneur posthume de Jean Lazou

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§ E.D.F.
La grande guerre de Jean Lazou, né en 1895 à Plougasnou et futur instituteur en Alsace-Lorraine et à Lestonan, avec ses combats, citations et médailles.

Sources : Registre matricule (classe 1915, numéro matricule 1733, archives départementales du Finistère), JMO du 25e régiment d'infanterie (site memoiredeshommes) et Historique du 25e RI (Pages14-18.com) et Journaux Officiels.

Autres lectures : « Espace des poilus » ¤ « Jean et Francine Lazou, instituteurs de 1926 à 1950 » ¤ « Les fêtes annuelles du quartier de Lestonan, Ouest-Eclair Dépêche de Brest 1936-1939 » ¤ « Les compétitions colombophiles de Jean Lazou de Lestonan, journaux locaux 1930-35 » ¤ « Les résistants communistes d'Ergué-Gabéric en 1939-45 » ¤ 

[modifier] Présentation

Jean-François Lazou est né en 1895 à Plougasnou d'un père maçon [1]. Alors qu'il est élève-maître à l’École Navale de Brest, il est incorporé le 16 décembre 1914, et se retrouve au front dans les rangs du 25e régiment d'infanterie où il sera successivement soldat de 1ère classe en mars 1915, caporal en juin 1915, sergent début avril 1916, adjudant fin avril 1916, sous-lieutenant en mai 1916, et enfin lieutenant en septembre 1918.

Outre ses nominations, sa fiche matriculaire fait état de 4 citations, au fur et à mesure des combats et de l'avancement de son régiment sur le front :

Image:Right.gifImage:Space.jpgChilly-Maucourt, Somme, sept. 1916 : « Plein d'ardeur, a conduit brillamment sa section, à l'assaut d'un village puissamment organisé. » (ordre du jour de la brigade). Le village en question de Chilly sera pilonné par les obus pendant 6 jours.

Image:Right.gifImage:Space.jpgProsnes, Champagne, avril 1917 : « Officier d'un dévouement et d'un courage à toute épreuve, s'est particulièrement distingué le 30 avril 1917 en entrainant sa section à l'attaque d'une tranchée ennemie. » (ordre de la division). L’attaque générale des monts par la 4e armée est fixée ce 30 avril à 12 h 40 et l'assaut final au Mont-Cornillet le 20 mai.

Image:Right.gifImage:Space.jpgLes Éparges, Meuse, décembre 1917 : « Officier d'une admirable crânerie et d'un dévouement sans limite. A exécuté avec méthode et une habilité remarquable une série de reconnaissances. » (ordre de la division). Il est blessé le 16 décembre 1917, aux Éparges - lieu de « combats terribles » en février 1915 - par éclats de grenades aux jambes.

Image:Right.gifImage:Space.jpgVerdun, Meuse, avril 1918 : « Officier très crâne au feu. Le 17 avril 1918, au cours d'un violent coup de main ennemi sur nos tranchées, s'est défendu avec la dernière énergie sur les positions de repli reconnues d'avance. S'est élancé en avant de ses hommes ... » (ordre du corps d'armée). Certes ce n'est pas la bataille de Verdun de 1916, mais les combats y sont encore violents.

Pour tous ses états de service, Jean Lazou reçoit la Croix de guerre et le droit de mettre sur son ruban une étoile de bronze, deux étoiles argent et une étoile vermeil. Et il est inscrit au tableau spécial pour chevalier de la légion d'honneur (J.O. du 10 décembre 1920) avec un bel éloge. Ce tableau est une procédure qui permet de nommer des militaires dans la Légion d'honneur, sans instruction immédiate du dossier et avec régularisation et officialisation ultérieures, et pour Jean Lazou ce sera fait trente ans plus tard.

En 1919, après l'armistice, il se « retire à Grosblittersdorff », village de Moselle rebaptisé Grosbliederstroff quand l'Alsace-Lorraine redevient officiellement française par le traité de Versailles en 1919.

 


Il y reste pour pour participer en tant qu'instituteur à la réintroduction de la langue française dans l’enseignement primaire. Il est rejoint par son épouse Francine Combot, également institutrice, et en octobre 1919 ils ont une petite fille prénommée Marie-Louise-France ou Malou.

De retour dans le Finistère, Jean et Francine Lazou enseignent à Roscoff en 1924. Puis au 1er octobre 1926, ils sont tous deux affectés aux écoles de Lestonan en Ergué-Gabéric où ils vont rester respectivement 13 et 18 ans.

Jean Lazou a laissé le souvenir d’un instituteur militant actif du Parti Communiste Français, engagé dans la formation des élèves et la défense de l’école laïque, et très investi dans la vie locale ouvrière et rurale. Mobilisé comme capitaine à la seconde Guerre mondiale, il trouve la mort le 15 mai 1940 à Montcornet (Aisne) lors d’une « violente attaque ennemie ». La Légion d’Honneur lui sera enfin attribuée en 1950 (J.O. du 7.1.1950) à titre posthume en régularisation du tableau spécial de 1920.


[modifier] Registre matricule

Jean-François Lazou, matricule 1734

LAZOU Jean-François.
Numéro matricule du recrutement : 1734
Classe de mobilisation : 1913

Etat-civil. Né le 29 Juillet 1895 à Plougasnou, canton de Lanmeur, département du Finistère, résidant à Plougasnou, canton de Lanmeur, département du Finistère, profession d'élève-maître à l'Ecole Navale, fils de Jean Marie et de Marie Françoise Gourvil, domiciliés à Plougasnou, canton de Lanmeur, département du Finistère.

Signalement. Cheveux châtains, yeux châtains, front moyen, nez rectiligne, visage long, taille 1m. 69, niveau d'instruction 4

Décision du conseil de révision : inscrit sous le n° 72 de la liste du canton de Lanmeur, classé dans la 1ère partie de la liste en 1914, sursis article 21 accordé.

Corps d'affection. Dans l'armée active : 47e régiment d'Infanterie (6961), 25e régiment d'Infanterie (9713). Fiche matriculaire adressée à Mr le secrétaire d'état aux F.A. "guerre" don des Personnels civils 7e bureau 16 rue St Dominique Paris, Paris le 19-7-49 n° 4501. Inv au cm9 n° 112 le 19/2/32.

Détail des services :

Incorporé au 47e régiment d'Infanterie. Arrivé au corps et soldat de 2e classe le 16 décembre 1914. Passé au 25e régiment d'Infanterie le 29 mars 1915, soldat de 1ère classe le 3 mars 1915, caporal le 11 juin 1915. Nommé sergent le 1er avril 1916. Nommé adjudant le 21 avril 1916. Sous lieutenant des armées actives le 5-5.1916 à titre temporaire pour compter du 20 septembre 1916. Sous lieutenant de réserve à titre temporaire par décret du 5 juin 1918 pour prendre rang du 20 avril 1918. Nommé lieutenant de réserve à titre définitif rang du 20 septembre 1918 (décret du 6 décembre 1918, J.O. du 10 décembre 1918, 25e Infanterie).

Envoyé en congé illimité de démobilisation le 17 novembre 1919. Dépôt démobilisateur : 26e régiment d'infanterie, 9e échelon n° 12057. Se retire à Grosblittersdorff (Alsace-Lorraine).

Passé au 160e Infanterie par D.M. en date du 28.9.1922 (J.O. du 30 septembre 1922). Passe au 10e Bataillon de chasseurs à pied par D.M. du 2.7.1922. J.O. du 5.71923. Passé au Em Y n° 112 par O.M. du 5.2/32 (J.O. du 7.2.32). Promu capitaine par décret du 20 juin 1932. J.O. et rang du 25 décembre 1932.

Rattaché à la classe 1913 de mobilisation, un enfant au 1er octobre 1923.

Rappelé à l'activité le 29 septembre 1939. Affecté au dépôt d'Infanterie n° 112 337e R.I.. Arrivé au corps le 5 septembre 1939. (seuls renseignements en ma possession). Tué à l'ennemi ?

Campagnes :

Contre l'Allemagne du 16 décembre 1914 au 23 octobre 1919.

Intérieur : sous les ordres du général de la Région du 16.12.1914 au 4.5.16 (C.S.) - Armées : sous les ordres du général commandant en chef, du 5.5.16 au 11.11.18 (C.M.) - Armées : sous les ordres du général commandant en chef du 12.11.18 au 23.10.19 (C.S.)

Blessures, actions d'éclat, décorations :

Blessé le 16 décembre 1917, aux Eparges, par éclats de grenades aux jambes.

- Ordre de la 39e brigade n° 56 du 28 septembre 1916 : "Plein d'ardeur, a conduit brillamment sa section, à l'assaut d'un village puissamment organisé".

- Ordre de la 20e division n° 469 du 14 mai 1917 : "Officier d'un dévouement et d'un courage à toute épreuve, s'est particulièrement distingué le 30 avril 1917 en entrainant sa section à l'attaque d'une tranchée ennemie, l'a occupée malgré un feu intense de mitrailleuses et s'y est maintenu héroïquement. Déjà cité à l'ordre de la brigade".

- Ordre de la 20e division n° 640 du 23 décembre 1917 : "Officier d'une admirable crânerie et d'un dévouement sans limite. A exécuté avec méthode et une habilité remarquable une série de reconnaissances qui ont fourni au commandement des renseignements précieux. A été blessé par éclats de grenades en entrainant son groupe. Déjà cité à l'ordre de la brigade et de la division".

- Ordre du 17e corps d'armée n° 88 du 6 mai 1918 : "Officier très crâne au feu. Le 17 avril 1918, au cours d'un violent coup de main ennemi sur nos tranchées, s'est défendu avec la dernière énergie sur les positions de repli reconnues d'avance. S'est élancé en avant de ses hommes au moment de la contre-attaque et a repris aussitôt son emplacement en 1ère ligne".

Croix de guerre. 1 étoile de bronze, 2 étoiles argent, 1 étoile vermeil.

Inscrit au tableau spécial pour chevalier de la légion d'honneur pour prendre rang du 16 juin 1920 (J.O. du 10 décembre 1920).

Tableaux spéciaux Légion d'honneur

Extrait d'une réponse du ministère de la Justice publiée dans le JO Sénat du 02/03/1995

« La croix de chevalier de la Légion d'honneur attribuée aujourd'hui aux anciens combattants de la guerre 1914-1918 constitue la deuxième, voire, pour certains d'entre eux, la troisième décoration, en considération des mêmes faits qui leur ont déjà valu la Croix de guerre et ensuite la médaille militaire, distinction prestigieuse s'il en est, puisqu'elle avait été définie, par son fondateur même, comme la Légion d'honneur du sous-officier. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, les intéressés se sont vu conférer la Légion d'honneur à divers titres et en grand nombre. C'est ainsi que sont intervenues, pour la première fois dans l'histoire de la Légion d'honneur, des nominations à titre posthume et des nominations au titre des tableaux spéciaux. (Le tableau spécial est une procédure qui permet de nommer dans la Légion d'honneur, sans limitation, un certain nombre de militaires, sans instruction du dossier, la régularisation intervenant ultérieurement.) »

Extraits de l'historique du 25e RI

Page 5. Chilly (septembre 1916)

Transporté en Beauvaisis (juin 1916), le 25e R.I., pendant trois semaines s’exerce à l’attaque. Le 17 juillet, il prend possession du secteur de Maucourt et entreprend les travaux préparatoires à l’attaque (construction de parallèles de départ, d’abris, etc.) Ce secteur, extrêmement calme au début, s’animait de plus en plus car, dans ce pays plat, les travaux et les mouvements de troupes ne pouvaient échapper à l’ennemi. Alternativement, pendant tout le mois d’août, nos gars en ligne manient la pelle et la pioche, organisent défensivement leur secteur et, à l’arrière, s’entraînent à manier les armes automatiques, les grenades, et organiser le terrain conquis. Le 28 août, le 2e bataillon monte en première ligne et occupe le secteur d’attaque du régiment pendant notre préparation d’artillerie. La concentration des feux est terrible ; le village de Chilly, pilonné par les obus de tous calibres jusqu’au 400 et par les énormes bombes de tranchées disparaît en 6 jours.

Page 7. Avril 1917. Champagne

Le 25 et le 27 avril, le régiment relève le 27e R.I. dans le secteur de Prosnes, en liaison à droite avec la 19e D.I. (secteur du mont Cornillet). L’attaque générale des monts par la 4e armée est fixée au 30 avril à 12 h 40. Le 2e bataillon, ayant la 3e compagnie en soutien, se porte magnifiquement vers la cote 142, mais sa progression est bientôt ralentie. L’ennemi résiste dans ses positions. Le tir de ses mitrailleuses sous casemates bétonnées est des plus meurtriers ; la 6e compagnie et un peloton de la 3e réussissent toutefois à pénétrer dans la tranchée Leopoldshohe, objectif de l’attaque, mais, décimés, ils ne peuvent s’y maintenir. Toute la journée, le bataillon tout entier résiste héroïquement, pour conserver la légère avance réalisée et pour appuyer l’action débordante du régiment de gauche, le 2e R.I. Le brave chef de bataillon Adam montre l’exemple à ses hommes. Debout sur le terrain, comme à l’exercice, il indiquait l’ennemi de sa canne, lorsqu’il fut grièvement blessé. Presque tous les officiers tombent, ce sont : le brave sous-lieutenant Longrais, un spécialiste des missions périlleuses, le jeune sous-lieutenant Leterrier, le sous-lieutenant Du Reau, le capitaine adjudant-major De Vendeuvre, tués à quelques mètres de la position ennemie. Le soir venu, nous conservions notre gain sanglant, malgré les contre-attaques de l’ennemi.

 

Registre-Matricule


Historique 25e RI - Suite

Page 9. Décembre 1917. Les Eparges.

Après un repos bien gagné, pris dans la zone Bassuer-Bassu (Champagne), le régiment est transporté à Sommedieue, où, pendant six jours, il travaille à l’entretien des routes, (11-16 novembre 1917). Le 17 novembre, il montait aux Eparges, secteur fameux, illustré par les combats terribles livrés par le 5e C.A. en 1915. Les crêtes de Combres et Montgirmont sont bouleversées par les mines et les torpilles. La nuit venue, les entonnoirs énormes qui séparent les lignes dan le secteur appelé « Cratère », les gabionnades de la plaine de la Woëvre, les buissons qui bordent le Longeau sont fouillés par d’audacieuses patrouilles qui tendent des embuscades. Deux mines boches sautent devant nos lignes le 20 novembre ; mines et obus bouleversent nos tranchées. Nos fantassins attendent de pied ferme un ennemi qui ne vient pas. Le 10 décembre, un nouveau camouflet est accompagné d’un violent bombardement qui cause des pertes sensibles au T.C. du régiment, stationné au camp des Douzains.

Page 10. Verdun (Avril 1918)

Dès notre arrivée, l’artillerie ennemie de tous calibres fait rage, ne laissant aucun répit aux garnisons de première ligne. Le 2 avril, à 20 heures, sous un feu violent, l’ennemi attaque brusquement la 2e compagnie ; le corps à corps s’engage, combat disproportionné où les plus braves succombèrent. Une heure plus tard, la compagnie rétablissait elle-même sa ligne. Elle avait perdu, en trois jours de bombardements et de combat, la moitié de son effectif. Quinze jours plus tard, le 17, l’ennemi exécute une violente concentration par obus toxiques sur nos batteries de barrage. Aussitôt, toutes dispositions sont prises : les artilleurs sont à leurs pièces, les éléments de surveillance sont repliés et, à 20 heures, lorsque l’attaque se déclenche, accompagnée d’un feu d’artillerie formidable, les groupes d’assaut allemands se heurtent à notre barrage raccourci et à nos feux d’infanterie. le temps de demander l’allongement du barrage et la contre-attaque, menée avec une vigueur inouïe par les lieutenants Bourget, Chatillon, Caubrière, les refoule en désordre, creusant dans leurs rangs des vides sanglants. À la fin de cette brillante action, le 1er bataillon comptait au tableau : 2 officiers, 34 morts, 23 blessés et prisonniers, plusieurs mitrailleuses, 2 lance-flammes. La 1re compagnie est citée à l’ordre pour sa vaillante conduite : « Excellente unité de combat qui s’était déjà distinguée à la prise de Chilly le 4 septembre 1916, sous le commandement du brave capitaine Couratier, et au Cornillet le 4 et le 21 mai 1917. Le 17 avril 1918, au bois des Caurières, a exécuté avec un remarquable brio, une parade habile et efficace, à un fort coup de main que l’ennemi avait plusieurs fois auparavant réussi sur le même point. Après l’avoir arrêté net sur la ligne de résistance, entraînée magnifiquement par son jeune et vaillant chef, le lieutenant Bourget, s’est élancée énergiquement et avec un admirable à-propos à la contre-attaque ; a intégralement rétabli sa position en quelques minutes, en infligeant aux Allemands des pertes sévères en tués et prisonniers, dont plusieurs officiers, et capturant un nombreux matériel. »

J.O. du 10 décembre 1920

Le ministre de la marine, ministre de la guerre par intérim, Vu la loi du 15 juin 1920, arrête :

Article unique : - sont inscrits aux tableaux spéciaux de la Légion d'honneur et de la médaille militaire, à compter du 16 juin 1920, les militaires de la réserve et de l'armée territoriale dont les noms suivent :

LEGION D'HONNEUR. Chevalier. Infanterie.

LAZOU (Jean-François), lieutenant au 25e régiment d'infanterie : officier d'une grande bravoure et d'un haut sentiment du devoir. A fait volontairement dans les lignes ennemies plusieurs reconnaissances périlleuses. Blessé une fois. Plusieurs fois cité.

J.O. du 7 janvier 1950

Par décret du 4 janvier 1950, rendu sur la proposition du président du conseil des ministres, du ministre de la défense nationale et du secrétaire d'Etat aux forces armées, le conseil de l'ordre entendu, sont nommés au grade de chevalier dans l'ordre national de la Légion d'honneur, à titre posthume, les militaires dont les noms suivent :

LAZOU (Jean-François), capitaine, classe 1915, matricule 1734 au recrutement de Brest, du 337e régiment d'infanterie, C.H.R.


[modifier] Annotations

  1. 29/07/1895 - Plougasnou (Kerdenis), naissance de LAZOU Jean François, fils de Jean Marie, Maçon , âgé de 37 ans et de Marie Françoise GOURVIL, Ménagère , âgée de 43 ans. Témoins : Jean François LAZOU 33a maçon Plougasnou frère du père - Jean Marie MASSON 66a cultivateur Plougasnou. Acte : Image:NaissanceLazou1895.jpg. Annotations : Marié à St-Martin-des-Champs le 25 juin 1917 avec Combot Françine. Morlaix le 27.6.1917. Décédé à Moncourt (Aisne) le 15.5.1940. [Ref.↑]


Thème de l'article : Document d'archives sur le passé d'Ergué-Gabéric.

Date de création : Décembre 2021    Dernière modification : 12.01.2022    Avancement : Image:Bullorange.gif [Développé]