1821-1822 - Premières transactions foncières du marchand Nicolas Le Marié
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- | xxx | + | C'est la moitié du village voisin de Kerouguéau (Kerongueo aujourd'hui) qui fut acquise et qui sera sans doute habitée par la famille Le Marié avant que les batiments en bordure de l'Odet ne soient construits. |
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- | En 1922 à savoir un siècle après sur le site industriel d"Odet créé par Nicolas Le Marié, l'abbé André-Fouet démarrait son discours commémoratif par cette légende : « <i>ce printemps de l'année 1821, où un cavalier de vingt-quatre ans parcourait cette région plus déserte, plus chaotique, plus désolée alors que le Stangala ... Ce cavalier, c'était Nicolas Le Marié, à la recherche de l'emplacement propice pour s'établir.</i>. » | + | En 1922, à savoir un siècle après l'arrivée de Nicolas Le Marié sur le site, l'abbé André-Fouet démarrait son discours commémoratif par cette évocation : « <i>ce printemps de l'année 1821, où un cavalier de vingt-quatre ans parcourait cette région plus déserte, plus chaotique, plus désolée alors que le Stangala ... Ce cavalier, c'était Nicolas Le Marié, à la recherche de l'emplacement propice pour s'établir.</i>. » |
- | Mais les circonstances furent certainement plus prosaïques, car il fallut procéder à l'achat du domaine foncier et de ses alentours. | + | Mais les circonstances furent certainement moins poétiques et plus prosaïques, car il fallut procéder à l'acquisition du domaine foncier et de ses alentours. |
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Version du 29 novembre ~ miz du 2015 à 08:51
| L'arrivée du futur papetier à Odet en Ergué-Gabéric en 1822 a été accompagnée d'acquisitions de maisons d'habitations et d'un parcelle non cultivée appelée Menez Pennanech.
C'est la moitié du village voisin de Kerouguéau (Kerongueo aujourd'hui) qui fut acquise et qui sera sans doute habitée par la famille Le Marié avant que les batiments en bordure de l'Odet ne soient construits. | |||||||
Autres lectures : « Archives d'Odet » ¤ « Nicolas Le Marié (1797-1870), maire et entrepreneur » ¤ « 1852 - Acquisitions à Odet et au moulin de Coat-Piriou par Nicolas Le Marié » ¤ « 1912 - Partage de terres vaines et vagues de Keronguéo Leurquer d'antraon » ¤ « ANDRÉ-FOUET Edouard (abbé) - Discours des Fêtes du Centenaire » ¤ |
1 Présentation
En 1922, à savoir un siècle après l'arrivée de Nicolas Le Marié sur le site, l'abbé André-Fouet démarrait son discours commémoratif par cette évocation : « ce printemps de l'année 1821, où un cavalier de vingt-quatre ans parcourait cette région plus déserte, plus chaotique, plus désolée alors que le Stangala ... Ce cavalier, c'était Nicolas Le Marié, à la recherche de l'emplacement propice pour s'établir.. » Mais les circonstances furent certainement moins poétiques et plus prosaïques, car il fallut procéder à l'acquisition du domaine foncier et de ses alentours. |
2 Transcriptions
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Obligation du 7 août 1821
Vente du 27 janvier 1822
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Suite
Vente du 23 mars 1822
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3 Originaux
Lieu de conservation :
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Reférence, droit d'image :
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4 Annotations
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- Douaire, s.m. : droit d'usufruit sur ses biens qu'un mari assignait à sa femme par son mariage et dont elle jouissait si elle lui survivait ; source : Trésor Langue Française. [Terme] [Lexique] [Ref.↑]
- Terres froides, s.f.pl. : terres pauvres mises en culture de loin en loin parfois après un brulis, par opposition aux terres chaudes; les terres froides prennent le reste du temps la forme de landes qui servent de pâturage d'appoint, et fournissent divers végétaux utiles : bruyères et fougères pour la litière, ajoncs pour la nourriture des chevaux, genets pour la couverture de la toiture (Jean Le Tallec 1994). [Terme] [Lexique] [Ref.↑]