Le site de la papeterie d'Odet et son alimentation en eau - GrandTerrier

Le site de la papeterie d'Odet et son alimentation en eau

Un article de GrandTerrier.

(Différences entre les versions)
Jump to: navigation, search
Version du 25 novembre ~ miz du 2012 à 09:32 (modifier)
GdTerrier (Discuter | contributions)

← Différence précédente
Version du 25 novembre ~ miz du 2012 à 09:56 (modifier) (undo)
GdTerrier (Discuter | contributions)

Différence suivante →
Ligne 6: Ligne 6:
|} |}
-Autres lectures : {{Tpg|La création de la manufacture d'Odet et ses fondateurs}}{{Tpg|Notes et croquis de Mann Kerouredan, jeune papetier d'Odet}}{{Tpg|Mann Kerouredan raconte la fabrication du papier}}{{Tpg2|Géo.Odet|Cartes du lieu-dit}}+Autres lectures : {{Tpg|La création de la manufacture d'Odet et ses fondateurs}}{{Tpg|Notes et croquis de Mann Kerouredan, jeune papetier d'Odet}}{{Tpg|Mann Kerouredan raconte la fabrication du papier}}{{Tpg2|Géo.Odet|Cartes du lieu-dit}}{{Tpg|Les Rospape, boucher ou meuniers}}
==Le vieux moulin== ==Le vieux moulin==
Ligne 187: Ligne 187:
{|width=870| {|width=870|
|width=48% valign=top align=justify| |width=48% valign=top align=justify|
-Il se situe sur la commune de Briec en aval de la papeterie sur la rive droite de l’Odet. Un pont permet d’y accéder depuis la propriété Bolloré et son musée océanographique.+Il se situe sur la commune de Briec en aval de la papeterie sur la rive droite de l’Odet. Depuis la propriété Bolloré et son musée océanographique, on peut y admirer un joli pont de pierre et une magnifique fontaine.
 +[[Image:FontaineOdet2.jpg|center|200px]]
-Sur l’extrait de carte IGN ci-dessous il pourrait y avoir confusion entre les bâtiments de la papeterie et l’emplacement de l’ancien moulin qui, en principe, n’existe plus. Pourtant il y avait bien deux moulins voisins, celui de Mouguéric sur un bief de l'Odet, et celui d'Odet sur la chute d'eau du ruisseau Bigoudic.+Sur l’extrait de carte IGN ci-dessous il pourrait y avoir confusion entre les bâtiments de la papeterie et l’emplacement de l’ancien moulin qui, en principe, n’existe plus. Pourtant il y avait bien deux moulins voisins, celui de Mouguéric sur un bief aval le long de l'Odet, et le vieux moulin de la papeterie avec sa grande roue sur la chute d'eau du ruisseau Bigoudic.
 +Après la guerre de 1914 le moulin de Mouguéric était toujours en activité. René Bolloré proposa alors au meunier de l'époque, Louis Rospape, l'exploitation du moulin de Troheir en Kerfeunteun en échange de la cession de celui de Mouguéric où on ne fit plus de farine.
[[image:carte_mogueric.jpg|center|thumb|350px]] [[image:carte_mogueric.jpg|center|thumb|350px]]
|width=4% valign=top|  |width=4% valign=top| 
Ligne 201: Ligne 203:
« Pour les 25 ans de patronat de Monsieur Bolloré, en 1929, il y eut un grand festin sous des tentes dans la prairie de Meil Mogueric. Il y avait beaucoup de monde, plus de 1.000 personnes, tout le personnel d'Odet et de Cascadec, le personnel cadre de Troyes. Ceux-ci eurent en plus une balade aux Glénans. Les enfants des écoles furent aussi invités et animèrent ce festin par des chants, des danses et des sketches. » « Pour les 25 ans de patronat de Monsieur Bolloré, en 1929, il y eut un grand festin sous des tentes dans la prairie de Meil Mogueric. Il y avait beaucoup de monde, plus de 1.000 personnes, tout le personnel d'Odet et de Cascadec, le personnel cadre de Troyes. Ceux-ci eurent en plus une balade aux Glénans. Les enfants des écoles furent aussi invités et animèrent ce festin par des chants, des danses et des sketches. »
{{FinCitation}} {{FinCitation}}
 +
 +<br>[[Image:MeilMougueric.jpg|center|thumb|400px|La roue du moulin était sur le côté droit de la petite bâtisse]]
|} |}

Version du 25 novembre ~ miz du 2012 à 09:56

Catégorie : Patrimoine
 Site : GrandTerrier

Statut de l'article :
  Image:Bullorange.gif [Développé]
§ E.D.F.

Sommaire

Les origines du moulin d'Odet, à travers ses cours d'eau (Odet et Bigoudic), son écluse et canal d'amenée, ses trois moulins (Coat-Piriou, Odet et Mouguéric). Le tout est accompagné des explications techniques et des croquis de Mann Kerouredan, et quelques photos d'Henri Chauveur.

Autres lectures : « La création de la manufacture d'Odet et ses fondateurs » ¤ « Notes et croquis de Mann Kerouredan, jeune papetier d'Odet » ¤ « Mann Kerouredan raconte la fabrication du papier » ¤ « Cartes du lieu-dit » ¤ « Les Rospape, boucher ou meuniers » ¤ 

1 Le vieux moulin

Longtemps on a cru que le canal d’amenée de la papeterie fut la seule source d'eau de la papeterie et qu'il était en fonction aux débuts de la manufacture de Nicolas Le Marié en 1822. En effet, en 1922 lors de la fête du centenaire, l’abbé André-Fouet présentait les choses ainsi :

«  Que de transformation à Odet depuis ce printemps de l'année 1821, où un cavalier de 24 ans parcourait cette région plus déserte, plus chaotique, plus désolée alors que le Stangala [...]. Ce cavalier, c'était Nicolas Le Marié [...]. A cette époque, dans nos régions, on utilisait bien peu la houille blanche comme moteur industriel : [il] voulut faire coup double en s'en servant pour fonder une papeterie. La chute d'eau était à créer : pour l'obtenir, il fallait détourner l'Odet sur une longeur de 1.500 mètres. »

 

Mais au fait, au début du 19e siècle, le site dOdet était-il aussi aride que l’abbé le prétend ? Si c'était le cas, comment était alimenté le moulin qui pré-existait avant la manufacture de papier.

Ce moulin donnait son nom au lieu-dit : « Meil-Odet ». On dispose du croquis ci-dessus du moulin (publié dans le livre d'or des Papeteries en 1930), et on le localise bien sur le bras du ruisseau du Bigoudic qui se jette dans l'Odet, à environ 200 mètres à l'arrière du manoir dont on identifie le pignon nord-ouest. Ce croquis est la reproduction à l'identique d'une photo ancienne, ce cliché historique montrant un peu plus de perspective sur la rive droite de l'Odet

Si on reconstitue les différents bâtiments des années en basant sur les cartes industrielles et cadastrales, on peut facilement localiser ce vieux moulin, dont la roue motrice servait de génératrice d'électricité.

2 Le Bigoudic

Sur le cadastre de 1834, on remarque deux tronçons de cours d’eau, le premier étant le ruisseau Bigoudic, affluent de l’Odet et prenant sa source plus au sud et s’écoulant le long de la route de Stang-Venn ou Lestonan. Le deuxième tronçon est situé entre le site de la papeterie et le 2e tournant amont de l’Odet.

Ce dernier tronçon était vraisemblablement la prolongation naturelle du Bigoudic et s’écoulant en pente vers l’Odet. Il est peu probable que ce cours d'eau s'écoulait comme le canal qui sera construit plus tard, dans le sens inverse de l'Odet vers l'usine à papier.

En effet sa longueur est à peine un cinquième du canal actuel, ce qui laisse à penser que son débit n’était pas suffisant pour remonter la pente. Aujourd’hui il ne reste de ce tracé qu’un fossé asséché, et on n’y trouve pas de terrassement artificiel, ce qui laisse à penser que le tronçon en question était la continuation du Bigoudic vers l’Odet.

 

Par contre avant de se jeter définitivement dans l’Odet, une vanne de dérivation devait apporter un débit suffisant sous la grande roue à aubes de l’usine car le Bigoudic provenait de bien plus haut, et pouvait constituer ce qu’on peut appeler une chute d’eau.

Cadastre de 1834
Cadastre de 1834
ECHOS DU BIGOUDIC

Le Bigoudic donnait non seulement un excellent papier à cigarettes, mais c’était aussi une réserve de truites et d’anguilles. Les braconniers locaux ne s’en privaient pas. Les anguilles arrivaient même à bloquer les directrices de la turbine hydraulique de l’usine !

Le dernier ruisseau venant alimenter le Bigoudic descend de Stang-Venn dans la prairie avant Ti-Coat. Non loin la fontaine « Feunteun Park Toulgurn » donnait une très bonne eau de consommation.

 

L'eau arrivait par un tuyau de 100 ; tout le quartier venait avec différents récipients chercher son eau.

Plus loin un lavoir où de nombreuses lavandières venaient de Keranna laver leur linge, et les Konchennoù allaient « bon train ». Anna Ti-Coat était ainsi au courant des histoires locales, vraies ou fausses, et faisait profiter tout le monde. Ca partait souvent dans des éclats de rire interminables.

Joyeuse époque révolue !


3 Besoins en eau

L’histoire de la papeterie nous apprend qu’en 1886-88 la production de la vapeur nécessaire aux rouleurs sècheurs est assurée par une chaudière. Le cadastre de la commune d’Ergué-Gabéric indique qu'une « machine à vapeur » en tant que construction nouvelle fut achevée en 1886 et déclarée aux impôts l’année 1889.

Il faut donc alimenter en eau la chaudière qui produit la vapeur. Le ruisseau du Bigodic était peut-être suffisant pour la grande roue (qui sera conservée pour la production d'électricité), mais avec les besoins croissants de vapeur, l'idée d'un canal d'amenée est vite à l’ordre du jour.

En plus de son apport énergétique, l’eau est un composant essentiel à la production de la pâte à papier, et ce en quantité de plus en plus importante.

La guerre survient en 1914. Malgré les difficultés d'approvisionnement, l'usine se développe encore. On y construit une centrale électrique à vapeur, le matériel est en quasi-totalité renouvelé et les vieux bâtiments remplacés par de nouvelles constructions plus fonctionnelles. Une deuxième machine à papier est également installée.

Mais pour faire fonctionner l’usine, l’entrée du canal d’amenée doit être plus haut de 5m 20 par rapport au cours de l’Odet, car sinon il n’y a aucune chance que l’usine puisse être alimentée dans sa partie sud. Des travaux énormes de terrassement sont nécessaires pour que le débit du canal soit suffisant pour refouler le Bigoudic. Avec l’arrivée du canal le dernier tracé du Bigoudic est supprimé et ce dernier et le canal peuvent se jeter dans l’Odet plus en aval. Ce qui fait que le 4 juillet 1925, F. Le Gars peut dresser un plan de l’usine au cordeau où le canal d’amenée se présente avec majesté.

Mais pour amener un débit d’un m3 par seconde à plus de 5 mètres du niveau naturel, l’entrée du canal doit être suffisamment éloignée, par exemple du côté du moulin de Coat-Piriou, à 1.500 mètres de l’enceinte de l’usine.

 
Plan de 1925
Plan de 1925

4 Moulin à Coat-Piriou

A quelle date le moulin de Coat-Piriou fut détruit pour laisser la place au barrage sur l’odet, puis à l’écluse constituée des vannes d’alimentation et de régulation du canal ? Avant 1925 certainement, mais pas forcément bien avant. En 1834, sur l’ancien cadastre il n’y a pas d’ambigüité : les positions du moulin et du bief sont marquées, et le nom des parcelles sont bien libellées « meil » ou « veil ».

Même chose en 1914. Dans un boite numérotée 1024 des archives municipales d’Ergué-Gabéric, on trouve 28 chemins décrits et cartographiés, dont celui de Coat-Piriou. Peut-être le moulin n’était-il pas en activité, car le dernier acte de naissance d’un enfant de meunier date de 1858. Dans l’acte le père et les deux témoins sont meuniers.

«  16 mars 1858, L’an mil huit cent cinquante huit, le seize à deux heures du soir par devant nous Maire et officier de l’état civil de la commune d’Ergué-Gabéric canton de Quimper département du Finistère a comparu Hervé Hiliou âgé de 39 ans, meunier au lieu du Moulin de Coat Piriou en cette commune, lequel nous a présenté un enfant du sexe féminin née ce matin au dit lieu à une heure, de lui déclarant et de Madame Quiniou son épouse âgée de 34 ans, auquel les prénoms de Marie-Renée. Ces déclarations et présentation ont été faites en présence de Louis Hiliou âgé de 22 ans et de Joseph Pétillon âgé de 32 ans, meuniers en cette communes, lesquels avec le père ont déclaré ne savoir signer après lecture. » 

Après les travaux de destruction du moulin, la petite maison d’habitation fut conservée, et une autre construite plus loin. Au siècle dernier ces maisons étaient désignées du nom de leurs habitants respectifs : « Ti Tin Pennec Koz » et la maison de Mao ou Cogent.

 
 


5 Ecluse et barrage

Quand l’entrée du canal à Meil-Coat-Piriou fut mise en eau ? Vraisemblement entre 1914 et 1925, et sans doute en 1921-22 car le discours de l’abbé cité en début d’article mentionnait explicitement son existence même s’il en attribuait la paternité à Nicolas Le Marié.

Des archives de l’exploitation agricole du Kreisker en Briec apportent des précisions. On y apprend qu’en 1923 le barrage fait l’objet de relèvement, et sur place on découvre effectivement en bas des prairies du Kreisker un muret sur une longueur plusieurs centaines de mètres.

« Du 9 juin 1925 Monsieur BOLLORE est propriétaire d’une usine dite « Papeteries d’Odet », ainsi que tous accessoires et dépendances comprenant entre autres un canal d’amenée dont l’entrée est établie au moyen d’un barrage appuyé sur la rive droite de la rivière de l’Odet, contre la prairie cadastrée sous le numéro 906 de la section I de la commune de Briec, qui a été acquise par Monsieur Nicolas LE MARIE, ancien propriétaire de cette usine, aux termes d’un contrat reçu par Me PLUNIER, notaire à Briec, le 17 mars 1852 […]

Les travaux de relèvement du barrage exécuté conformément aux plans annexé à l’arrêté de la Préfecture du Finistère en date du six novembre 1923, étant terminés, et afin d’assurer l’écoulement des eaux de ladite propriété du Gresquer et prévenir, dans la mesure du possible, les inondations dans l’étendue des numéros 902, 903, 904, 905, 906P, et 909, section I de la commune de Briec les comparants ont arrêté […]

Article premier. Monsieur LE STER reconnaît la régularité de ce relèvement et autorise Monsieur BOLLORE à faire construire ou édifier sur les numéros 902, 904, 909 et 906, un talus en mottes, terres, ciment ou poteaux en ciment armés […] »

Un talus a été adjoint conformément à l’accord entre le propriétaire du Kresquer et René Bolloré. Ces travaux constituaient des mesures de protection contre les inondations que le barrage pouvait causer accidentellement quand les pluies étaient abondantes.

On apprend que le barrage à l’origine appuyé à la parcelle 906 était exactement à l’endroit où l’écluse avec vanne automatique fut installée sans doute quelques années après. Cette vanne est une merveille technologique. Ses deux axes étaient parfaitement alignés et horizontaux, et soutenir une charge d’au moins 5 tonnes.

Quand l’eau monte sur le plateau de la vanne, les flotteurs montent dans leurs logements respectifs. Quand l’eau descend, l’effet inverse se produit. Le but est d’avoir une hauteur d’eau suffisante dans le canal.

Le poids des contrepoids en beton est inférieur au poids des flotteurs et de la vanne. La hauteur d’eau suffit donc pour déclencher l’auto-régulation. Ce système a très bien marché jusqu’à ce que des casseurs ne passent par là.

En janvier 2009, les crémaillères d’une vanne manuelle ont cédé sous la pression de l’eau. Depuis quelques années le tablier avait quitté la glissière du pilier.

Au nom de la mémoire des ingénieurs et des ouvriers qui ont conçu cet ouvrage, il faudrait à notre avis réhabiliter un peu plus le site de Meil-Coat-Piriou.

 

6 Le long du canal

Les matériaux de construction utilisés pour le canal d'amenée :

 Pierres et béton au départ
Pierres et béton au départ
 La plaque de béton en continu prés de la petite écluse plus haut
La plaque de béton en continu prés de la petite écluse plus haut
 
 La partie de mur en pierres de tailles
La partie de mur en pierres de tailles

L'ensemble vanne + tunnel ci-dessous a été réalisé sans béton, entièrement en pierres de taille, par des maçons décédés maintenant depuis plus d'un siècle. Et depuis ce temps-là pas la moindre mauvaise herbe entre les pierres.

Voici à quoi ressemblait l'entrée du chemin de l'église dans les années après guerre 1939-45. Quand le portail était fermé il n'était pas possible d'y faire entrer une brouette !


7 Moulin de Mouguéric

Il se situe sur la commune de Briec en aval de la papeterie sur la rive droite de l’Odet. Depuis la propriété Bolloré et son musée océanographique, on peut y admirer un joli pont de pierre et une magnifique fontaine.

Sur l’extrait de carte IGN ci-dessous il pourrait y avoir confusion entre les bâtiments de la papeterie et l’emplacement de l’ancien moulin qui, en principe, n’existe plus. Pourtant il y avait bien là deux moulins voisins, celui de Mouguéric sur un bief aval le long de l'Odet, et le vieux moulin de la papeterie avec sa grande roue sur la chute d'eau du ruisseau Bigoudic.

Après la guerre de 1914 le moulin de Mouguéric était toujours en activité. René Bolloré proposa alors au meunier de l'époque, Louis Rospape, l'exploitation du moulin de Troheir en Kerfeunteun en échange de la cession de celui de Mouguéric où on ne fit plus de farine.

 

Le moulin de Mouguéric est souvent cité dans l’histoire de la papeterie, en particulier par Laurent Huitric dans son entretien du mardi 15 décembre 1998 :

« Dans le four à pain de chez Marguerite, on cuisait du pain noir deux fois par semaine. Puis tant que le four était chaud, on y faisait "kraser" de l'avoine afin qu'il soit plus facile à moudre. Ceux de "Meil Mogueric" y amenaient leur grain ; ce grain séché passait entre des meules qui ne faisaient que l'effleurer pour en faire une farine d'avoine dont on était grand consommateur à l'époque. On y a amené parfois du grain de Trégourez. »

« Pour les 25 ans de patronat de Monsieur Bolloré, en 1929, il y eut un grand festin sous des tentes dans la prairie de Meil Mogueric. Il y avait beaucoup de monde, plus de 1.000 personnes, tout le personnel d'Odet et de Cascadec, le personnel cadre de Troyes. Ceux-ci eurent en plus une balade aux Glénans. Les enfants des écoles furent aussi invités et animèrent ce festin par des chants, des danses et des sketches. »


La roue du moulin était sur le côté droit de la petite bâtisse
La roue du moulin était sur le côté droit de la petite bâtisse


Thème de l'article : Richesses du patrimoine

Date de création : mai 2009    Dernière modification : 25.11.2012    Avancement : Image:Bullorange.gif [Développé]