Fiers d'être gabéricois, Tud an Erge-Vras omp ha lorc'h ennomp, Ergué.com 09.2018 - GrandTerrier

Fiers d'être gabéricois, Tud an Erge-Vras omp ha lorc'h ennomp, Ergué.com 09.2018

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-<i>Le numéro 73 de septembre-octobre 2018 du bulletin Ergué.com inclut, dans sa rubrique « Fiers d'être gabéricois », les deux portraits de l'immense écrivain Hervé Jaouen et du chroniqueur grandterrien Jean Cognard.</i>+<i>Le numéro 73 de septembre-octobre 2018 du bulletin Ergué.com inclut, dans sa rubrique « Fiers d'être gabéricois », les deux portraits de l'immense écrivain Hervé Jaouen <ref name="HervéJaouen">{{PR-HervéJaouen}}</ref> et du chroniqueur grandterrien Jean Cognard.</i>
Service de communication : Gwennole Oréal. Rédactrice : Hélène Berre Service de communication : Gwennole Oréal. Rédactrice : Hélène Berre
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-« Fiers d’être Gabéricois »+<b>Jean Cognard, L’historien chroniqueur</b>
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Jean Cognard a fait d’Ergué-Gabéric une commune emblématique du monde rural et de ses mutations. Son site internet grandterrier.net compte 5 000 à 10 000 visiteurs uniques par jour. Jean Cognard a fait d’Ergué-Gabéric une commune emblématique du monde rural et de ses mutations. Son site internet grandterrier.net compte 5 000 à 10 000 visiteurs uniques par jour.
-« <i>Ma passion pour l’histoire et le patrimoine gabéricois remonte à mon enfance, lorsque j’arrive en culottes courtes à l’école de Lestonan. Mon père est alors ouvrier à la papeterie Bolloré. Je conserve, aujourd’hui encore, un attachement particulier pour le quartier de Stang Ven et l’entreprise.</i> »+« <i>Ma passion pour l’histoire et le patrimoine gabéricois remonte à mon enfance, lorsque j’arrive en culottes courtes à l’école de Lestonan. Mon père est alors ouvrier à la papeterie Bolloré. Je conserve, aujourd’hui encore, un attachement particulier pour le quartier de Stang Ven et ses habitants.</i> »
<b>Bientôt une monographie</b> <b>Bientôt une monographie</b>
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À la fin des années 1970, muni d’un magnétophone, il commence du collectage. Avec Bernez Rouz, il crée une association qui se charge aussi d’alimenter les archives communales. Il participe un temps à Arkae et monte un site internet. « <i>Son nom, Grand Terrier, continue d’interroger. En fait on trouve Erc'hié-Vrâs pour nommer ce Grand Ergué, ou Grand Terrier.</i> » À la fin des années 1970, muni d’un magnétophone, il commence du collectage. Avec Bernez Rouz, il crée une association qui se charge aussi d’alimenter les archives communales. Il participe un temps à Arkae et monte un site internet. « <i>Son nom, Grand Terrier, continue d’interroger. En fait on trouve Erc'hié-Vrâs pour nommer ce Grand Ergué, ou Grand Terrier.</i> »
-Depuis 2007, il y écrit des billets hebdomadaires (250 abonnés), édités dans un Kannadig trimestriel (100 exemplaires papier). « <i>Je suis en train de basculer sur un format plus long, avec des textes plus approfondis, pour une sorte de monographie de la commune, qui sera publiée cet été.</i> » +Depuis 2007, il y écrit des billets hebdomadaires (250 abonnés), édités dans un Kannadig trimestriel (100 exemplaires papier). « <i>Je suis en train de compléter par un format plus long, publié en cette mi-année, avec des textes plus approfondis, pour une sorte de monographie de la commune.</i> »
<b>Une méthode qui fait référence</b> <b>Une méthode qui fait référence</b>
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Ce large écho lui vaut des échanges enrichissants qui font boule de neige, il est sollicité pour aller voir des lieux, des documents. Avec la retraite qui se profile, Grand Terrier n’a pas dit son dernier mot. « Je suis moi-même étonné de l’intérêt que j’y trouve toujours, il y a encore de belles pages gabéricoises à écrire ! » Ce large écho lui vaut des échanges enrichissants qui font boule de neige, il est sollicité pour aller voir des lieux, des documents. Avec la retraite qui se profile, Grand Terrier n’a pas dit son dernier mot. « Je suis moi-même étonné de l’intérêt que j’y trouve toujours, il y a encore de belles pages gabéricoises à écrire ! »
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Version du 5 octobre ~ here 2018 à 21:14

Catégorie : Journaux
Site : GrandTerrier

Statut de l'article :
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§ E.D.F.

Le numéro 73 de septembre-octobre 2018 du bulletin Ergué.com inclut, dans sa rubrique « Fiers d'être gabéricois », les deux portraits de l'immense écrivain Hervé Jaouen [1] et du chroniqueur grandterrien Jean Cognard.

Service de communication : Gwennole Oréal. Rédactrice : Hélène Berre

Autres lectures : « Annales du GrandTerrier » ¤ « Jean Guéguen, laborantin à la papeterie d'Odet » ¤ 

1 Présentation

« Fiers d’être Gabéricois » est sous-titré en langue bretonne « Tud an Erge-Vras omp ha lorc'h ennomp », ce qui donne, en traduction littérale « Nous sommes le peuple d'Ergué-gabéric et c'est un l'honneur pour nous ». Effectivement, il s'agit plus d'un honneur que d'une fierté !

 

2 Transcriptions

Jean Cognard, L’historien chroniqueur

Jean Cognard a fait d’Ergué-Gabéric une commune emblématique du monde rural et de ses mutations. Son site internet grandterrier.net compte 5 000 à 10 000 visiteurs uniques par jour.

« Ma passion pour l’histoire et le patrimoine gabéricois remonte à mon enfance, lorsque j’arrive en culottes courtes à l’école de Lestonan. Mon père est alors ouvrier à la papeterie Bolloré. Je conserve, aujourd’hui encore, un attachement particulier pour le quartier de Stang Ven et ses habitants. »

Bientôt une monographie

À la fin des années 1970, muni d’un magnétophone, il commence du collectage. Avec Bernez Rouz, il crée une association qui se charge aussi d’alimenter les archives communales. Il participe un temps à Arkae et monte un site internet. « Son nom, Grand Terrier, continue d’interroger. En fait on trouve Erc'hié-Vrâs pour nommer ce Grand Ergué, ou Grand Terrier. »

Depuis 2007, il y écrit des billets hebdomadaires (250 abonnés), édités dans un Kannadig trimestriel (100 exemplaires papier). « Je suis en train de compléter par un format plus long, publié en cette mi-année, avec des textes plus approfondis, pour une sorte de monographie de la commune. »

Une méthode qui fait référence

Ces chroniques du site connaissent un vrai succès. « Beaucoup de destinataires ne sont pas Gabéricois. En fait elles sont reproductibles sur de nombreux territoires de France, symboles des transformations d’une société rurale au cours des siècles. »

Ce large écho lui vaut des échanges enrichissants qui font boule de neige, il est sollicité pour aller voir des lieux, des documents. Avec la retraite qui se profile, Grand Terrier n’a pas dit son dernier mot. « Je suis moi-même étonné de l’intérêt que j’y trouve toujours, il y a encore de belles pages gabéricoises à écrire ! »

 

3 Annotations

  1. Hervé Jaouen, né en 1942, commence à écrire dès l'âge de seize ans et son premier manuscrit reçoit l'encouragement de Jean-Edern Hallier. Il se destinait à des études de lettres, et finalement commence une carrière dans la banque. En 1979, il inaugure une toute nouvelle collection de polars, Engrenage, par « La Mariée rouge », et devient un des maîtres du roman noir français avec entres autres « Le quai de la fosse ». Sous plusieurs pseudos il écrit aussi de très bons romans d'anticipation, notamment « Le celte noir », des notes de voyage, des livres pour la jeunesse, et de très belles sagas populaires emplies de bretonnismes. [Ref.↑]


Thème de l'article : Reportage sur Ergué-Gabéric

Date de création : Octobre 2018    Dernière modification : 5.10.2018    Avancement : Image:Bullgreen.gif [Fignolé]    Source : Télégramme du 27.02.2018