1788 - Compte de Jean Le Pouppon, fabrique de Kerdévot
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Les comptes du fabrique [1] de Notre-Dame de Kerdévot pour l'année 1788 avec l'état détaillé des revenus ou « charge » et des dépenses ou « décharge ». |
Autres lectures : « 1855 - Décret impérial pour l'érection de Kerdévot en chapelle de secours » ¤ « 1840 - Droits d'étalage sur le placître de la chapelle de Kerdévot » ¤ « 1809 - Attestation de quête pour l'acquisition de la chapelle de Kerdévot » ¤
1 Introduction
Document intéressant, conservé aux Archives Départementales du Finistère, et éclairant sur le fonctionnement d'une fabrique
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2 Transcriptions
Page 1 :
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Suite page 2 :
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3 Originaux
Lieu de conservation :
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Usage, droit d'image :
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Tenue des comptes | |||||
4 Annotations
- Fabrique, s.f. : désigne, avant la loi de séparation de l'église et de l'état, tantôt l'ensemble des biens affectés à l'entretien du culte catholique, tantôt le corps politique spécial chargé de l'administration de ces biens, ce au niveau de l'église paroissiale ou d'une chapelle. Les paroissiens trésoriers membres de ce corps étaient les « fabriciens », les « marguilliers » ou plus simplement jusqu'au 18e siècle les « fabriques » (s.m.). Les fabriques sont supprimées par la loi du 9 décembre 1905 et remplacées par des associations de fidèles. Source : site Internet restarhorniou. [Terme] [Lexique] [Ref.↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4]
- Prône, s.m. : lecture faite par le prêtre, en chaire, après l’évangile, à la grand-messe. Le prône comporte des prières en latin et en français à l'intention des vivants, à commencer par le Roi, et des défunts ; parfois, mais pas toujours, une homélie commentant les lectures du jour ; et enfin une série d'annonces concernant les fêtes et les jeûnes à venir, les bancs de mariage, les monitoires de justice, les ordres adressés par le Roi, etc. On comprend ainsi que ce prône peut être fort long, mais il est essentiel pour la cohésion de la communauté paroissiale et pour la communication du haut en bas dans le royaume. Source : Dictionnaire de l'Ancien Régime. [Terme] [Lexique] [Ref.↑ 2,0 2,1]
- Alain Dumoulin fut recteur d'Ergué-Gabéric de 1787 à 1791. [Ref.↑ 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4]
- Toussaint François-Joseph Conen de Saint-Luc est un religieux français, né le 17 juillet 1724 à Rennes. Nommé abbé de l'abbaye de Langonnet en 1767, il devint le dernier évêque de Cornouaille de 1773 à 1790. Il décéda à Quimper le soir du 30 septembre 1790. Source : Wikipedia. [Ref.↑]
- Pierre-Alain Denys fut recteur d'Ergué-Gabéric de 1785 à 1787. [Ref.↑ 5,0 5,1]
- Décimes, s.m.pl. : imposition sur les bénéfices ecclésiastique, levée au départ pour financer les croisades. Les décimes étaient fournies par les prêtres et fabrique de paroisse, et payés au receveur diocésain, qui lui-même transmettait aux receveurs provinciaux, puis au receveur général du Clergé, lequel reversait dans les caisses du roi. Les décimes ne doivent pas être confondus avec la Dîme et le Dixième. [Terme] [Lexique]}} [Ref.↑ 6,0 6,1]
Thème de l'article : Document d'archives sur le passé d'Ergué-Gabéric. Date de création : Mai 2012 Dernière modification : 18.04.2013 Avancement : [Développé] |