Les sagesses antiques de Jean-Marie Déguignet et de Michel Onfray
Un article de GrandTerrier.
Dans son premier tome de sa « Contre histoire de la philosophie », Michel Onfray réhabilitent les hédonistes antiques contre les écoles de Platon et des Stoïciens.
Qu'en est-il de Jean-Marie Déguignet dans ses Mémoires d'un paysan bas-breton ? Admirait-il Diogène et Epicure ? Comprenait-il Epictète ? Abhorrait-il Platon et Socrate, ? Autres lectures : « Espace Déguignet » ¤ « DÉGUIGNET Jean-Marie - Mémoires d'un Paysan Bas-Breton » ¤ |
1 Présentation
2 Morceaux choisix
Épicure et Lucrèce, page 768</big>
Lucrèce et Pythagore, page 694</big> |
xxx, page ccc |
3 Annotations
- « E tenebris tantis tam clarun extollere lumen qui primus postuiti, inlustrans commoda viate » : du fonds des ténèbres si grandes, toi le premier sus faire jaillir une si éclatante lumière, et nous éclairer sur les vrais biens de la vie (Lucrèce, De Natura Rerum, livre III, v 1-2, p 98). Il s'agit en fait de l'évocation d'Epicure par Lucrèce et non pas d'un discours d'Epicure. [Ref.↑]
Thème de l'article : Ecrits de Jean-Marie Déguignet Date de création : Octobre 2015 Dernière modification : 20.10.2015 Avancement : [Développé] |