ANTHONY Jean - Opération Coelacanthe
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| Un autre ami breton d'Ergué-Gabéric était aussi de l'aventure : | Un autre ami breton d'Ergué-Gabéric était aussi de l'aventure : | ||
| - | * page 81 : « <i>D'autre part, je songeais à Gwenn-Aël, l'industriel bien connu, correspondant du Muséum et fondateur d'un musée ^privé aux environs de Quimper, le Muséum océanographique d'Odet. <spoiler text="Il m'avait convié ...">Il m'avait convié à son inauguration, en 1965. La richesse, la qualité de ses collections m'avaient frappé, et, pour le moins autant, l'art avec lequel il les mettait en valeur. Je connaissais aussi son talent de plongeur sous-marin, de photographe, et sa longue expérience de la navigation. Sur son bateau L'Arthropode, il avait parcouru en tous sens l'Atlantique, la Manche, la mer du Nord, rapportant de ses voyages de nouvelles pièces pour son musée d'Odet et pour le Muséum. À l'occasion d'une rencontre, l'été 1970, sur le quai de Douarnenez, je lui avais touché un mot de mon projet. Les Comores le tentaient d'autant plus qu'il se tenait au courant de tout de qui concernait Latimeria, car il en avait acquis un spécimen, le N° 34. Il avait accepté sur-le-champ le principe d'une collaboration. Sa présence dans l'équipe dépendrait toutefois de ses occupations au moment de la campagne. »</spoiler></i> | + | * page 81 : « <i>D'autre part, je songeais à Gwenn-Aël, l'industriel bien connu, correspondant du Muséum et fondateur d'un musée privé aux environs de Quimper, le Muséum océanographique d'Odet. <spoiler text="Il m'avait convié ...">Il m'avait convié à son inauguration, en 1965. La richesse, la qualité de ses collections m'avaient frappé, et, pour le moins autant, l'art avec lequel il les mettait en valeur. Je connaissais aussi son talent de plongeur sous-marin, de photographe, et sa longue expérience de la navigation. Sur son bateau L'Arthropode, il avait parcouru en tous sens l'Atlantique, la Manche, la mer du Nord, rapportant de ses voyages de nouvelles pièces pour son musée d'Odet et pour le Muséum. À l'occasion d'une rencontre, l'été 1970, sur le quai de Douarnenez, je lui avais touché un mot de mon projet. Les Comores le tentaient d'autant plus qu'il se tenait au courant de tout de qui concernait Latimeria, car il en avait acquis un spécimen, le N° 34. Il avait accepté sur-le-champ le principe d'une collaboration. Sa présence dans l'équipe dépendrait toutefois de ses occupations au moment de la campagne. »</spoiler></i> |
| * page 121 : « <i>Du même réflexe, le lendemain matin, nous sautons à la poste pour expédier des télégrammes triomphants et des lettres à la Royal Society, au professeur Millot, aux épouses, ainsi qu'uà Gwenn-Aël Bolloré, qui répandra la nouvelle dans la grande presse.</i>. » | * page 121 : « <i>Du même réflexe, le lendemain matin, nous sautons à la poste pour expédier des télégrammes triomphants et des lettres à la Royal Society, au professeur Millot, aux épouses, ainsi qu'uà Gwenn-Aël Bolloré, qui répandra la nouvelle dans la grande presse.</i>. » | ||
| * page 126 : « <i>8 janvier. Dans une heure, l'effectif de l'équipe aura doublé. Gwenn-Aël Bolloré et Quentin Bone vont débarquer vers 10 heures de l'avion de Dar es Salaam. [...] Inutile de les Vyatta résenter l'un à l'autre, ils ont fait connaissance dans les nuages - Bone a dû repérer Gwenn-Aël Bolloré à sa casquette de marin - et se montrent pleins d'entrains en dépit d'une fin de traversée pénible. [...] Nous faisons à Bone et à Bolloré les honneurs des trois petites salles où flotte encore un vague relent de poisson pas frais, de produits chimiques, en souvenir de l'évènement du 5.</i>. » | * page 126 : « <i>8 janvier. Dans une heure, l'effectif de l'équipe aura doublé. Gwenn-Aël Bolloré et Quentin Bone vont débarquer vers 10 heures de l'avion de Dar es Salaam. [...] Inutile de les Vyatta résenter l'un à l'autre, ils ont fait connaissance dans les nuages - Bone a dû repérer Gwenn-Aël Bolloré à sa casquette de marin - et se montrent pleins d'entrains en dépit d'une fin de traversée pénible. [...] Nous faisons à Bone et à Bolloré les honneurs des trois petites salles où flotte encore un vague relent de poisson pas frais, de produits chimiques, en souvenir de l'évènement du 5.</i>. » | ||
Version du 7 février ~ c'hwevrer 2015 à 10:54
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Notice bibliographique
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Des fossiles vivants de 350 millions d'années, réputés disparus depuis 70 millions d'années, et péchés aux Comores par un professeur de Muséum d'Histoire naturelle de Paris, un breton né en 1915 à Chateaulin Un autre ami breton d'Ergué-Gabéric était aussi de l'aventure :
Autres lectures : « BOLLORÉ Gwenn-Aël - Evolution et pêche au coelacanthe » ¤ « Le coelacanthe, fossile vivant, expliqué par G.-A. Bolloré, Historama 1975 » ¤ « Gwenn-Aël Bolloré (1925-2001), écrivain-poète et PDG » ¤ « ESPERN André - Gwenn-Aël Bolloré, l'homme crabe » ¤ « GUILLAMOT Loeiz - Gwenn-Aël Bolloré » ¤ « BOLLORÉ Gwenn-Aël - Né gosse de riche » ¤ | |||||
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Thème de l'article : Fiche bibliographique d'un livre ou article couvrant un aspect du passé d'Ergué-Gabéric Date de création : Janvier 2015 Dernière modification : 7.02.2015 Avancement : |