1946-1952 - Ecole communale des garçons au bourg
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* « <i>Non, je ne serais certainement pas le plus compétent pour identifier cette classe de 1946, n'étant rentré à l'école du bourg qu'en 1948. Bien sûr certains visages me semblent évidents, mais je pense que Jean Le Reste, Jean et Raymond Feunteun, François Nédélec, Hervé le Yaouancq etc. qui semblent y figurer seraient plus à même que moi. J'ai par contre une photo de 1952 ...</i> », YN. | * « <i>Non, je ne serais certainement pas le plus compétent pour identifier cette classe de 1946, n'étant rentré à l'école du bourg qu'en 1948. Bien sûr certains visages me semblent évidents, mais je pense que Jean Le Reste, Jean et Raymond Feunteun, François Nédélec, Hervé le Yaouancq etc. qui semblent y figurer seraient plus à même que moi. J'ai par contre une photo de 1952 ...</i> », YN. | ||
<big><b>Instituteurs</b></big> | <big><b>Instituteurs</b></big> | ||
- | * « <i>La photo datant de l’année scolaire 1946-1947, c’est la dernière année que j’ai passée au bourg, dans la classe de l’ancien directeur, Pierre Autret <ref>Pierre Autret et son épouse (prénom ?), originaires de ?, ont été nommés instituteurs à l'école communale du bourg d'Ergué-Gabéric en 193x. Jean Thomas, entré à l'école en 1934, témoigne : « <i>M. Autret gardait les candidats au certificat le soir après la classe pour les faire travailler</i> ». Il est mobilisé en 1939, et reviendra enseigner au bourg à son retour de la guerre. Le couple d'instituteurs était très apprécié par leurs élèves.</ref> (et aussi Madame Autret), un homme à qui je suis redevable de la base de ma formation intellectuelle et morale.</i> », JLR. | + | * « <i>La photo datant de l’année scolaire 1946-1947, c’est la dernière année que j’ai passée au bourg, dans la classe de l’ancien directeur, Pierre Autret <ref>Pierre Autret et son épouse (prénom ?), originaires de ?, ont été nommés instituteurs à l'école communale du bourg d'Ergué-Gabéric en 193x. Jean Thomas, entré à l'école en 1934, témoigne : « <i>Monsieur Autret gardait les candidats au certificat le soir après la classe pour les faire travailler, et grâce à lui j'ai eu mon certificat</i> ». Il est mobilisé en 1939, et reviendra enseigner au bourg à son retour de la guerre. Le couple d'instituteurs était très apprécié par leurs élèves.</ref> (et aussi Madame Autret), un homme à qui je suis redevable de la base de ma formation intellectuelle et morale.</i> », JLR. |
* « <i>Dommage que les instits ne soient pas sur les photos de classe avec leurs élèves : Monsieur Autret, directeur, "les grands", classe du certificat d'études primaires ; Madame Autret, "les petits", et Madame Guillamet, "les moyens". Et c'est avec beaucoup d'émotion que je vois cette photo-portrait des époux Autret, des "pros" de l'enseignement !</i> », HYB | * « <i>Dommage que les instits ne soient pas sur les photos de classe avec leurs élèves : Monsieur Autret, directeur, "les grands", classe du certificat d'études primaires ; Madame Autret, "les petits", et Madame Guillamet, "les moyens". Et c'est avec beaucoup d'émotion que je vois cette photo-portrait des époux Autret, des "pros" de l'enseignement !</i> », HYB | ||
* « <i>La voiture de notre Maître (Monsieur Autret), une Peugeot, était restée sur cale pendant la guerre dans le garage attenant aux logements des instituteurs. En 46 ou 47, un ouvrier (du garage Peugeot de Quimper?) était venu la remettre en état. Je le vois encore taper sur le réservoir démonté pour en détacher la rouille. La titine allait retrouver une seconde vie !</i> », HYB | * « <i>La voiture de notre Maître (Monsieur Autret), une Peugeot, était restée sur cale pendant la guerre dans le garage attenant aux logements des instituteurs. En 46 ou 47, un ouvrier (du garage Peugeot de Quimper?) était venu la remettre en état. Je le vois encore taper sur le réservoir démonté pour en détacher la rouille. La titine allait retrouver une seconde vie !</i> », HYB |
Version du 24 août ~ eost 2014 à 20:35
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Autres lectures : « 1883-1885 Construction de l'école des garçons au Bourg » ¤ « 1807-1849 - Le projet des premières écoles communales au bourg » ¤ « 1849-1887 Construction et réfection de l'école des filles au Bourg » ¤
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1 Présentation
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2 Témoignages
Photos d'écoles
Instituteurs
Loisirs, divertissements
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3 Classe de 1946-1947
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1er rang :
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2e rang :
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3e rang :
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4e rang :
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4 Classe de 1948
39 | 40 | 41 | 42 | 43 | 44 | 45 | 46 | 47 | ||||||
24 | 25 | 26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | 32 | 33 | 34 | 35 | 36 | 37 | 38 |
13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | 21 | 22 | 23 | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | 12 |
1er rang :
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2e rang :
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3e rang :
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4e rang :
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5 Classe de 1952
21 | 22 | 23 | 24 | 25 | 26 | 27 | 28 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | 19 | 20 | |||
1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 |
1er rang :
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2e rang :
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3e rang :
Instituteur et directeur (absent de la photo) : M. Quéffélec |
6 Annotations
- Le "douric" (de « dour » signifiant "eau" en beton), s'appelait autrefois « douric Piriou ». C'est un petit ruisseau qui prend sa source du côté de Lézergué et se jette dans le Jet près du carrefour de la route d'Elliant et de celle venant du bourg (en prolongement de la rue du cimetière). On peut penser que la mention "Piriou" venait du nom du propriétaire d'une des prairies traversées par le ruisseau. Quant à désigner l'école, les anciens de 1946-47 ne sont pas d'accord : « L'école des garçons du bourg n'a jamais eu une autre appellation ; comme elle est seule, il n'y en a pas besoin. L'école n'a jamais porté le nom d'école du Douric. » [Ref.↑]
- Pierre Autret et son épouse (prénom ?), originaires de ?, ont été nommés instituteurs à l'école communale du bourg d'Ergué-Gabéric en 193x. Jean Thomas, entré à l'école en 1934, témoigne : « Monsieur Autret gardait les candidats au certificat le soir après la classe pour les faire travailler, et grâce à lui j'ai eu mon certificat ». Il est mobilisé en 1939, et reviendra enseigner au bourg à son retour de la guerre. Le couple d'instituteurs était très apprécié par leurs élèves. [Ref.↑]
- Yves Le Moal est le fils l'institutrice de l'école laïque de filles, alors en face de la boulangerie. [Ref.↑]
- François Nédélec, fils du boulanger qui a repris le commerce après Catherine et Thérèse Balès, sœurs de Fanch le résistant. [Ref.↑]
- Louis Le Roux de Bohars est mort pour la France en Algérie. [Ref.↑]
Thème de l'article : Photographie d'antan Date de création : août 2014 Dernière modification : 24.08.2014 Avancement : [Développé] |
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