Suicides suite au traumatisme de la Grande Guerre, journaux locaux 1918-1922
Un article de GrandTerrier.
Version du 7 octobre ~ here 2022 à 09:12 (modifier) GdTerrier (Discuter | contributions) ← Différence précédente |
Version du 7 octobre ~ here 2022 à 12:12 (modifier) (undo) GdTerrier (Discuter | contributions) Différence suivante → |
||
Ligne 3: | Ligne 3: | ||
|width=85% valign=top {{jtfy}}|[[Image:CourrierF.jpg|right|100px]]<i>Comme l'a écrit Jean-Yves Broudic dans son livre « Suicide et alcoolisme au XXe siècle en Bretagne » (2008), le nombre important de suicides dans notre région peut s'expliquer par les effets traumatique de la Grande Guerre : ces actes désespérés à Ergué-Gabéric entre 1918 et 1922 semblent l'attester.</i> | |width=85% valign=top {{jtfy}}|[[Image:CourrierF.jpg|right|100px]]<i>Comme l'a écrit Jean-Yves Broudic dans son livre « Suicide et alcoolisme au XXe siècle en Bretagne » (2008), le nombre important de suicides dans notre région peut s'expliquer par les effets traumatique de la Grande Guerre : ces actes désespérés à Ergué-Gabéric entre 1918 et 1922 semblent l'attester.</i> | ||
- | Sources : souvenirs familiaux et coupures de presse des journaux Le Courrier du Finistère <ref name="CourrierFinistère">{{CourrierFinistère}}</ref>, Le Progrès du Finistère, Le Finistère <ref name="LeFinistère">{{LeFinistère}}</ref>, Le Citoyen, Le Petit Breton, L'Union Agricole <ref name="UnionAgricole">{{UnionAgricole}}</ref>, La Dépêche de Brest. | + | Sources : souvenirs familiaux et coupures de presse des journaux Le Courrier du Finistère <ref name="CourrierFinistère">{{CourrierFinistère}}</ref>, Le Progrès du Finistère <ref name="ProgrèsF">{{ProgresFinistère}}</ref>, Le Finistère <ref name="LeFinistère">{{LeFinistère}}</ref>, Le Citoyen <ref name="LeCitoyen">{{LeCitoyen}}</ref> , Le Petit Breton <ref name="PetitBreton">{{PetitBreton}}</ref> , L'Union Agricole <ref name="UnionAgricole">{{UnionAgricole}}</ref>, La Dépêche de Brest <ref name="Dépeche">{{DépêcheDeBrest}}</ref>. |
Autres lectures : {{Tpg|Interdiction du bal des poilus et intransigeance du recteur Pennec, Le Finistère 1919}}{{Tpg|1728 - Inhumation hors des lieux saints suite à une mort tragique dans un four à pain}}__NOTOC__ | Autres lectures : {{Tpg|Interdiction du bal des poilus et intransigeance du recteur Pennec, Le Finistère 1919}}{{Tpg|1728 - Inhumation hors des lieux saints suite à une mort tragique dans un four à pain}}__NOTOC__ |
Version du 7 octobre ~ here 2022 à 12:12
| Comme l'a écrit Jean-Yves Broudic dans son livre « Suicide et alcoolisme au XXe siècle en Bretagne » (2008), le nombre important de suicides dans notre région peut s'expliquer par les effets traumatique de la Grande Guerre : ces actes désespérés à Ergué-Gabéric entre 1918 et 1922 semblent l'attester.
Sources : souvenirs familiaux et coupures de presse des journaux Le Courrier du Finistère Autres lectures : « Interdiction du bal des poilus et intransigeance du recteur Pennec, Le Finistère 1919 » ¤ « 1728 - Inhumation hors des lieux saints suite à une mort tragique dans un four à pain » ¤ |
Présentation
... tous âges ... tous métiers ... ... les effets de la guerre ... ... les non-dits familiaux ... ... seulement qqs villages à l'ouest du territoire communal ... |
Coupures de presse
|
| ||||||||||||||
|
| ||||||||||||||
|
| ||||||||||||||
|
| ||||||||||||||
|
| ||||||||||||||
|
|
Annotations
- Le « Courrier du Finistère » est créé en janvier 1880 à Brest par un imprimeur Brestois, Jean-François Halégouët qui était celui de la Société anonyme de « l'Océan » qui éditait à Brest depuis 1848 le journal du même nom, et par Hippolyte Chavanon, rédacteur en chef commun des deux publications. Le but des deux organes est de concourir au rétablissement de la monarchie. Le Courrier du Finistère est, de 1880 à 1944, un journal hebdomadaire d'informations générales de la droite légitimiste alliée à l'Église catholique romaine jusqu'au ralliement de celle-ci à la République. Il est resté ensuite le principal organe de presse catholique du département, en ayant atteint un tirage remarquable de 30 000 exemplaires en 1926. Rédigé principalement en français, il fait une place remarquable à la langue bretonne, qui est, alors, pour certains ruraux, la seule langue lisible, grâce à l'enseignement du catéchisme. Ayant continué de paraître pendant l'Occupation allemande (1940-1944), Le Courrier du Finistère fait l'objet d'une interdiction de parution. Pour lui faire suite, le diocèse de Quimper a suscité la création d'un hebdomadaire au contenu unique, mais sous deux titres, le Courrier du Léon et le Progrès de Cornouaille. [Ref.↑]
- L'hebdomadaire « Le Progrès du Finistère », journal catholique de combat, est fondé en 1907 à Quimper par l'abbé François Cornou qui en assurera la direction jusqu'à sa mort en 1930. Ce dernier, qui signe tantôt de son nom F. Cornou, tantôt de son pseudonyme F. Goyen, ardent et habile polémiste, doté d'une vaste culture littéraire et scientifique, se verra aussi confier par l'évêque la « Semaine Religieuse de Quimper ». [Ref.↑]
- Le Finistère : journal politique républicain fondé en 1872 par Louis Hémon, bi-hebdomadaire, puis hebdomadaire avec quelques articles en breton. Louis Hémon est un homme politique français né le 21 février 1844 à Quimper (Finistère) et décédé le 4 mars 1914 à Paris. Fils d'un professeur du collège de Quimper, il devient avocat et se lance dans la politique. Battu aux élections de 1871, il est élu député républicain du Finistère, dans l'arrondissement de Quimper, en 1876. Il est constamment réélu, sauf en 1885, où le scrutin de liste lui est fatal, la liste républicaine n'ayant eu aucun élu dans le Finistère. En 1912, il est élu sénateur et meurt en fonctions en 1914. [Ref.↑]
- Le « Citoyen, organe de la république démocratique des cantons de Pont-l'Abbé, Plogastel-Saint-Germain, Pont-Croix et Douarnenez », puis " journal républicain radical, politique, agricole, maritime, commercial" a été fondé à l'occasion des élections législatives de mai 1906 ; reparaît en 1910 à l'occasion des élections législatives d'avril et en 1951 à l'occasion des élections législatives du 17 juin. – Du 8 août au 11 décembre 1914, a paru sous le titre : "Le Petit citoyen". [Ref.↑]
- Le Petit Breton (1920-1940) hebdomadaire de la Fédération des républicains démocrates du Finistère (Ligue nationale de la démocratie) ["puis" organe du Parti démocrate populaire "puis" organe du Parti démocrate populaire dans le Finistère]. Première année : n° 1 (3 oct. 1920) ; dernière année : n° 1070 (16 juin 1940) - Brest (impr. à Morlaix puis Rennes). [Ref.↑]
- L'Union agricole et maritime, qui a d'abord été appelée L'Union agricole du Finistère est un journal local d'informations générales qui a paru à Quimperlé (Finistère) de 1884 à 1942. Il a connu des orientations éditoriales différentes, selon ses propriétaires successifs. La périodicité a aussi été variable : bi-hebdoadaire, tri-hebdomadaire et hebdomadaire. Avec pour sous-titre Organe Républicain Démocratique de la région du Nord-Ouest, le journal paraît le 1er août 1884 à l'initiative du conseiller général de Quimperlé, James Monjaret de Kerjégu, un riche propriétaire terrien et ancien diplomate résidant à Scaër. [Ref.↑]
- La Dépêche de Brest est lancée le 18 novembre 1886 avec des moyens très limités et succède à l’Union Républicaine du Finistère créée 10 ans plus tôt. Quotidien, il sera même biquotidien durant des périodes d’actualité forte, comme lors de la première guerre mondiale, avec une édition du matin et une édition du soir. Installé rue Jean Macé à Brest (à l’époque rue de la rampe), à l’emplacement des locaux actuels du Télégramme, La Dépêche de Brest poursuivit son évolution jusqu’au 17 août 1944. Ce jour là, en application de la nouvelle réglementation de la Libération, les biens de la Dépêche furent mis sous séquestre. L’ensemble du matériel est alors loué au Télégramme, nouveau titre autorisé par le Comité régional de l’information. [Ref.↑]
Thème de l'article : Coupures de presse relatant l'histoire et la mémoire d'Ergué-Gabéric Date de création : Octobre 2022 Dernière modification : 7.10.2022 Avancement : [Fignolé] |