Mac'honiet gant ar mecanik da zorna - machines à battre, Feiz ha breiz 1876
Un article de GrandTerrier.
Version du 29 janvier ~ genver 2021 à 12:54 (modifier) GdTerrier (Discuter | contributions) ← Différence précédente |
Version du 29 janvier ~ genver 2021 à 12:54 (modifier) (undo) GdTerrier (Discuter | contributions) Différence suivante → |
||
Ligne 70: | Ligne 70: | ||
Le malheureux est père de deux enfants et tout à fait sans ressources. | Le malheureux est père de deux enfants et tout à fait sans ressources. | ||
- | N'existe-t-il donc aucun moyen de préserver nos travailleurs des campagnes contre de si déplorables accidents.<i> » | + | N'existe-t-il donc aucun moyen de préserver nos travailleurs des campagnes contre de si déplorables accidents.</i> » |
À cette question posée par notre correspondant dans la dernière phrase de sa lettre, nous répondons qu'il est bien difficile de préserver les travailleurs contre leur propre imprudence. | À cette question posée par notre correspondant dans la dernière phrase de sa lettre, nous répondons qu'il est bien difficile de préserver les travailleurs contre leur propre imprudence. | ||
Ligne 76: | Ligne 76: | ||
Hier, pendant la séance du Conseil général, l'honorable M. de Pompery, député, a précisément soulevé cette question, et prié M. le préfet du Finistère de vouloir bien faire rechercher les moyens de remédier aux dangers que présente l'usage imprudemment compris de certains instruments agricoles. | Hier, pendant la séance du Conseil général, l'honorable M. de Pompery, député, a précisément soulevé cette question, et prié M. le préfet du Finistère de vouloir bien faire rechercher les moyens de remédier aux dangers que présente l'usage imprudemment compris de certains instruments agricoles. | ||
- | Pour nous, nous coyons que le danger serait beaucoup moins grand, si les fermiers ... | + | Pour nous, nous croyons que le danger serait beaucoup moins grand, si les fermiers ... |
{{FinCitation}} | {{FinCitation}} | ||
Version du 29 janvier ~ genver 2021 à 12:54
|
Des accidents de batteuses relatés dans Feiz ha Breiz Autres lectures : « Pardonerien e Kerdevot, Pardon à Kerdévot, Feiz ha breiz 1871 » ¤ |
1 Présentation
2 Transcriptions et traductions
Feiz ha Breiz du 28.08.1876
Le Finistère du 23.08.1876
|
Le Finistère du 26.08.1876
Le Finistère du 30.08.1876 |
3 Coupures de presse
Feiz ha breiz et Le Finistère | |||||
4 Annotations
- « Feiz ha Breiz » est le premier journal hebdomadaire en langue bretonne, fondé en 1865 par le vicaire général Léopold-René de Léséleuc, sous la mandature de Mgr Sergent, et diffusé jusqu'en 1884, puis de 1899 à 1944, et enfin depuis 1945. De 1865 à 1883 la direction et rédaction furent assurées par Gabriel Morvan, puis par l'abbé Nédélec. En 1911, l'abbé Jean-Marie Perrot, rédacteur pour Feiz ha Breiz depuis 1902 en prend la direction jusqu'à sa mort en 1943. La revue Kroaz Breiz succéda de 1948 à 1950 à la revue Feiz ha Breiz, puis changea de nom pour s’appeler Bleun-Brug (1951-1984) quand elle commença à publier des articles en français. [Ref.↑]
Thème de l'article : Coupures de presse relatant l'histoire et la mémoire d'Ergué-Gabéric Date de création : janvier 2021 Dernière modification : 29.01.2021 Avancement : [Développé] |