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| Manoir de Penanrun, Jean Istin, 2002 | |
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| Dès les premières lignes de son roman, Hélène Villbois-Coïc a concoctée une magnifique évocation du manoir de ses ancêtres : « Plaqué contre le mur de façade, Antoine de Geslin maintenait obstinément ses paupières closes. Le granit diffusait dans son dos la chaleur capturée à l'été en déclin ... ».
Dans la postface elle explique que la vie de Jean-Marie de Geslin, enseigne de vaisseau du Roy l'a inspiré, mais qu'elle a volontairement de la distance : « La famille était déjà à Pennarun au début du 18e, dès 1698, un certain Jean-Baptiste Geslin habite le manoir ... Garder le nom d'une personne ayant existé comme personnage central me paraissait très contraignant, j'ai donc préféré inventer un membre à cette famille : Antoine était "né" ».
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