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-Un soir, j'étais allé voir cette comédie. Lorsque les confessions et les cantiques furent terminés, un de « ces pères » nous fit un sermon sur les guerriers chrétiens.+Un soir, j'étais allé voir cette comédie. Lorsque les confessions et les cantiques furent terminés, un de « ces pères » nous fit un sermon sur les guerriers chrétiens. Cependant il devait être embarrassé là, puisque nous allions faire la guerre aux chrétiens, et mieux encore au chef de la chrétienté, au grand vicaire de Jésus-Christ, le confrère en <i>carbonari/i>, et le compère de notre « Magnanime Empereur », qui devait y perdre toute sa puissance temporelle. Cependant, le malin jésuite connaissait les choses mieux que nous, car il annonça à la fin que nous ne tarderions pas à partir. Et voila que le soir même, à l'appel, on nous prévient que le quartier serait consigné le lendemain matin, et qu'il nous fallait préparer nos effets de parade, tuniques, shakos et autres effets inutiles en campagne, pour être versés au magasin.
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 +Ah ! quels cris de joie et d'allégresse ...

Version du 7 septembre ~ gwengolo 2013 à 15:49

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Un soir, j'étais allé voir cette comédie. Lorsque les confessions et les cantiques furent terminés, un de « ces pères » nous fit un sermon sur les guerriers chrétiens. Cependant il devait être embarrassé là, puisque nous allions faire la guerre aux chrétiens, et mieux encore au chef de la chrétienté, au grand vicaire de Jésus-Christ, le confrère en carbonari/i>, et le compère de notre « Magnanime Empereur », qui devait y perdre toute sa puissance temporelle. Cependant, le malin jésuite connaissait les choses mieux que nous, car il annonça à la fin que nous ne tarderions pas à partir. Et voila que le soir même, à l'appel, on nous prévient que le quartier serait consigné le lendemain matin, et qu'il nous fallait préparer nos effets de parade, tuniques, shakos et autres effets inutiles en campagne, pour être versés au magasin.

Ah ! quels cris de joie et d'allégresse ...