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[modifier] Biographie

François Laurans, maire en 1793-95 et 1797-1800, périodes entrecoupées par le mandat de Jean Riou, est le grand-père de René Laurent, également maire d'Ergué-Gabéric de 1824 à 1846.

Il est né le 3 février 1740 à Squividan. Il se marie avec Françoise Le Caugant le 8 juillet 1755 à Ergué-Gabéric. Il décède le 18 novembre 1800 à Ergue-Armel et n'apparait pas sur le recensement de 1790.

Par contre son fils, François également, né le 27 octobre 1760 à Squividan [1], est déclaré citoyen actif sur le recensement de 1790 d'Ergué-Gabéric.

Qualifié de "vieux" sur un document de 1798, François Laurans père a vraisemblablement laissé sa ferme de Squividan à son fils pour habiter dans la partie sud-ouest rattachée en 1790 à Ergué-Armel et intégrée à Ergué-Gabéric en 1791 (Kerampensal, Cleuyou ou Pennervan).

[modifier] Mandats municipaux

En mars 1793 il est qualifié de maire dans un document pour la levée militaire du contingent communal, alors que Jean Le Jour est officier municipal et Yves Le Meur procureur de la commune. En 1794 il signe le document détaillant l'état de l'actif et passif de la commune. En 1795 il laissera sa place de maire à Jean Riou de Tréodet.

Son existence de "François Laurans vieux" est attestée en tant que maire par un document de 1798 valant pour certificat de résidence d'un ecclésiastique. Les autres signataires de l'acte sont Jean Nicolas, adjoint, et Rannou, agent (secrétaire ?).

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-Un doute subsiste quant à l'identité de François Laurans, mentionné comme maire les deux périodes de 1793-95 et 1797-1800 :
+François Laurans, maire en 1793-95 et 1797-1800, périodes entrecoupées par le mandat de Jean Riou, est le grand-père de [[René Laurent, maire (1824-1846)|René Laurent]], également maire d'Ergué-Gabéric de 1824 à 1846.
-<u>1e hypothèse</u> : François Laurans, né le 3 février 1740 à Squividan. Il se marie avec Françoise Le Caugant le 8 juillet 1755 à Ergué-Gabéric. Il décède le 18 novembre 1800 à Ergue-Armel et n'apparait pas sur le recensement de 1790. Certains le font mourir en 1782 à Ergué-Gabéric, mais le fait qu'il soit qualifié de "vieux" sur le document de 1798 nous fait préférer l'hypothèse qu'il ait laissé sa ferme de Squividan et soit employé dans une ferme près de Quimper dans la partie intégrée à Ergué-Gabéric en 1791 (Kerampensal, Cleuyou ou Pennervan) et rattaché en 1790 à Ergué-Armel.
+Il est né le 3 février 1740 à Squividan. Il se marie avec Françoise Le Caugant le 8 juillet 1755 à Ergué-Gabéric. Il décède le 18 novembre 1800 à Ergue-Armel et n'apparait pas sur le recensement de 1790.
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-<u>2e hypothèse</u> : François Laurans, fils du précédent, né le 27 octobre 1760 à Squividan en Ergué-Gabéric. Il se marie 8 juillet 1780 avec Corentine Le Gallou avec qui il a sept enfants, dont François. Il décède le 1er juin 1809 à Squividan. Sur le recensement de 1790 il est déclaré comme citoyen actif.
+Par contre son fils, François également, né le 27 octobre 1760 à Squividan <ref>François Laurans fils se marie 8 juillet 1780 avec Corentine Le Gallou avec qui il a sept enfants, dont François. Il décède le 1er juin 1809 à Squividan.</ref>, est déclaré citoyen actif sur le recensement de 1790 d'Ergué-Gabéric.
-Suivant les 2 hypothèses ci-dessous, il est soit le grand-père, soit le père de [[René Laurent, maire (1824-1846)|René Laurent]], également maire d'Ergué-Gabéric de 1824 à 1846.
+Qualifié de "vieux" sur un document de 1798, François Laurans père a vraisemblablement laissé sa ferme de Squividan à son fils pour habiter dans la partie sud-ouest rattachée en 1790 à Ergué-Armel et intégrée à Ergué-Gabéric en 1791 (Kerampensal, Cleuyou ou Pennervan).
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-En mars 1793 il est qualifié de maire dans le document « [[1793 - Levée de 12 citoyens pour le contingent communal]] », alors que Jean Le Jour est officier municipal et Yves Le Meur procureur de la commune. En 1795 il laissera sa place de maire à [[Jean Riou, maire (1795-1797)|Jean Riou]] de Tréodet.
+En mars 1793 il est qualifié de maire dans un document pour la levée militaire du contingent communal, alors que Jean Le Jour est officier municipal et Yves Le Meur procureur de la commune. En 1794 il signe le document détaillant l'état de l'actif et passif de la commune. En 1795 il laissera sa place de maire à [[Jean Riou, maire (1795-1797)|Jean Riou]] de Tréodet.
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-Son existence de "François Laurans vieux" est attestée en tant que maire  par [[1798 - Attestation de résidence gabéricoise pour un prêtre|un document de 1798]] valant pour certificat de résidence d'un ecclésiastique. Les autres signataires de l'acte sont Jean Nicolas, adjoint, et Rannou, agent (secrétaire ?).
+Son existence de "François Laurans vieux" est attestée en tant que maire  par un document de 1798 valant pour certificat de résidence d'un ecclésiastique. Les autres signataires de l'acte sont Jean Nicolas, adjoint, et Rannou, agent (secrétaire ?).
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