La vente de la chapelle et du calvaire de Coat-Quéau, Ouest-Eclair Illustration 1925
Un article de GrandTerrier.
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Deux articles qui reprennent les arguments pour et contre le transfert de ce calvaire depuis son lieu d'origine près d'une chapelle en ruine jusqu'au parc de l'industriel René Bolloré. |
Autres lectures : « René Bolloré (1885-1935), entrepreneur » ¤ « Les croix et calvaires d'Ergué-Gabéric » ¤
1 Présentation
Rappel des faits : la chapelle de Notre-Dame de Coat-Quéau étant en ruine, la municipalité de Scrignac organisa une vente aux enchères « le calvaire, la chapelle en ruines, le terrain et un second calvaire ». En 1937 à l´initiative de l´abbé Jean-Marie Perrot |
2 Article du 27 avril
3 Article du 6 juin
4 Annotations
- L'abbé Jean-Marie Perrot (1877-1943) est un prêtre catholique séculier, fondateur de l'association Bleun-Brug et de la revue Feiz ha Breiz. Ordonné prêtre en 1903, en poste à Saint-Vougay, Saint-Thégonnec, Plouguerneau, Scrignac, il se fait l'apôtre de la langue et des traditions catholiques de son pays breton. Soupçonné de compromission avec l'occupant allemand, il est abattu en 1943 par un membre de l'Organisation spéciale du PCF à Scaër. Il a sa tombe près de la chapelle de Coat-Quéau qu'il a fait reconstruire en 1937. [Ref.↑]
Thème de l'article : Revue de presse Date de création : Mai 2013 Dernière modification : 1.06.2013 Avancement : [Développé] |