1872 - Condamnation d'Yvon Queinnec pour insurrection par le 13e conseil de guerre
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|width=65% valign=top|__NOTOC____NUMBERHEADINGS__<i>Les malheurs d'un fils de journalier pendant la guerre de 1870 et la Commune de Paris au travers de ses condamnations et rejet de demande de grâce.</i> | |width=65% valign=top|__NOTOC____NUMBERHEADINGS__<i>Les malheurs d'un fils de journalier pendant la guerre de 1870 et la Commune de Paris au travers de ses condamnations et rejet de demande de grâce.</i> | ||
- | Existence révélée dans le dictionnaire Maitron et document inédit des archives nationales. | + | Existence révélée dans le dictionnaire Maitron et un document inédit de recours en grâce aux Archives Nationales. |
- | Autres lectures : {{Tpg|Yvon Queinnec, engagé volontaire et communard condamné pour insurrection}}{{Tpg|MAITRON Jean - Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français}}{{Tpg|Empire, garde nationale et Commune de Paris en 1870-71 pour Jean-Marie Déguignet}} | + | Autres lectures : {{Tpg|Yvon Queinnec, engagé volontaire et communard condamné pour insurrection}}{{Tpg|MAITRON Jean - Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français}}{{Tpg|DÉGUIGNET Jean-Marie - Histoire de ma vie, l'Intégrale}}{{Tpg|Empire, garde nationale et Commune de Paris en 1870-71 pour Jean-Marie Déguignet}} |
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- | Il est coutumier de croire que, pendant la Commune de Paris, les bretons se sont illustrés uniquement dans les rangs des Versaillais. Le document ci-dessous prouve qu'il existe des exceptions, que des natifs du finistère ont été du côté des communards et ont subi ensuite la répression militaire des vainqueurs. | + | D'aucuns affirment que, pendant la Commune de Paris, les bretons se sont illustrés uniquement dans les rangs des Versaillais. Le document ci-dessous prouve qu'il existe des exceptions, que des natifs du finistère ont été du côté des communards et ont subi ensuite la répression militaire des vainqueurs. |
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+ | Notre natif d'Ergué-Gabéric s'appelle Yvon Queinnec, Yves-Marie sur son acte de naissance en 1845, et son père journalier agricole loue cette année-là un penn-ty dans le village de Quélennec <ref>Lors des naissances suivantes Guillaume Queinnec est déclaré journalier dans les lieux-dits de Guilly houarn, Pratilès et Menez-Kerveady.</ref> . Sans doute les Queinnec connaissent-ils Jean-Marie Déguignet, enfant à Quélennec entre 1838 et 1848 et qui deviendra aussi militaire. | ||
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+ | Yvon Queinnec monte d'abord sur Paris pour y exercer le métier de chambre. En pleine guerre contre la Prusse il est engagé volontaire dans le 4e régiment de zouaves. | ||
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Version du 17 janvier ~ genver 2019 à 16:52
1 Présentation
2 Transcriptions
3 Documents
4 Annotations
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