VILBOIS-COÏC Hélène - La constellation de l'Hermine

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Catégorie : Media & Biblios

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VILBOIS-COÏC (Hélène), La constellation de l'Hermine, un marin de la Compagnie des Indes au siècle des Lumières, Yoran Embanner, -, 2013, ISBN 2-916579-58-0
Titre :	La constellation de l'Hermine, un marin de la Compagnie des Indes au siècle des Lumières
Auteur :	VILBOIS-COÏC Hélène	Type :	Livre/Brochure
Edition :	Yoran Embanner	Note :	-
Impression :	-	Année :	2013
Pages :	267	Référence :	ISBN 2-916579-58-0

Notice bibliographique

Couverture

p. 20, manoir de Penenreun, Jean Istin, 2002

Autres lectures : « Archives de Pennarun » ¤ « Le manoir de Pennarun » ¤ « 1698 - Mises aux écrous des frères Geslin de Pennarun » ¤ « BAFFAIT Bernard - Le Chouan Noir Geslin de Pennarun » ¤ « Hervé Lizien, père (1731-1787) et fils (1762-1794), agriculteurs et greffiers » ¤

Dès les premières lignes de son roman, Hélène Villbois-Coïc nous propose une magnifique évocation du manoir de ses ancêtres : « Plaqué contre le mur de façade, Antoine de Geslin maintenait obstinément ses paupières closes. Le granit diffusait dans son dos la chaleur capturée à l'été en déclin ... ».

Dans la postface elle nous explique que la vie de Jean-Marie de Geslin, enseigne de vaisseau du Roy, l'a inspirée, mais elle s'en est volontairement affranchie : « Un recensement d'Ergué-Gabéric datant de 1790 [1], consulté en 2006 sur le site de l'association Arkae, m'a immédiatement permis de connaître le nom des propriétaires de Pennarun ... La famille était déjà à Pennarun au début du 18e, dès 1698, un certain Jean-Baptiste Geslin habite le manoir ... Garder le nom d'une personne ayant existé comme personnage central me paraissait très contraignant, j'ai donc préféré inventer un membre à cette famille : Antoine était "né" ».

Elle fait donc naître son héros en juillet 1725, lui donne comme père Jean-Baptiste « homme lettré et subtil », et c'est dans les années 1740 qu'il naviguera du côté de l'île Bourbon (aujourd'hui île de la Réunion) pour le compte de la Compagnie des Indes. Ce personnage de fiction s'inscrit donc comme le représentant de la double génération de Charles (né en 1708) et de Jean-Marie (né en 1737) :

 François de Geslin de Bourgogne (1645-1706)
  x 1666 Françoise Collet (1646-1672)
  └> Christophe de Geslin de Kersalvator (1671-)
  x 1666 Marie Marguerite de Glemarec (-1678)
  └> Jean Baptiste de Geslin (Seigneur de Pennarun en 1641)
    x 1700 Jeanne Mauricette Harquin (-1714)
    ├
    └> Charles Jean Alexandre Gélin (1708-)
    ├   x Marie Corentine du Trémic de Keraneizan
    ├   ├
    ├   ├> Jean Marie de Geslin (1737-1786), lieut. de vaisseau
    ├   ├   x Malouine (ou Maclovie) Josephe Breil de Nevet
    ├   ├   ├
    ├   ├   ├> Marie Gilonne de Geslin 
    ├   ├   ├> Marie-Louise de Geslin 
    ├   ├   ├> Céleste-Maclovie de Geslin 
    ├   ├   ├> Rosalie-Jacquette de Geslin 
    ├   ├   └> Marie-Hyacinthe de Geslin (1768-1832), chouan
    ├   ├        x Thérèse  Breart de Boisanger (1759-1830)
    ├   └> Urbain Marie de Geslin (1743-)
    ├
    └> Gilles Fr. Geslin (s. de Pennarun, gd commissaire, 1713-)
        x 1768 Magdeleine Henry de Bohal, veuve de Poulpiquet

De Pennarun, du Mélennec et du Stangala jusqu'aux voyages initiatiques ...

Non seulement Jean-Marie Geslin fut enseigne de vaisseau, à ses débuts, mais il fut nommé lieutenant

Annotations

Article écrit et étude menée par Jean Cognard. Première publication : bulletin municipal de la commune d'Ergué-Gabéric de décembre 1982. : « 1790 - Un recensement inédit à Ergué-Gabéric » ¤ [Ref.↑]

Thème de l'article : Fiche bibliographique d'un livre ou article couvrant un aspect du passé d'Ergué-Gabéric

Date de création : Novembre 2013 Dernière modification : 24.11.2013 Avancement : [Fignolé]

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Catégorie: Biblio

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-Dans la postface elle nous explique que la vie de Jean-Marie de Geslin, lieutenant (après avoir été enseigne) de vaisseau du Roy l'a inspiré, mais qu'elle s'en est volontairement affranchie : « <i>La famille était déjà à Pennarun au début du 18e, dès 1698, un certain Jean-Baptiste Geslin habite le manoir ... Garder le nom d'une personne ayant existé comme personnage central me paraissait très contraignant, j'ai donc préféré inventer un membre à cette famille : Antoine était "né"</i> ». Elle le fait naître en juillet 1725, lui donne comme père Jean-Baptiste « <i>homme lettré et subtil</i> », et c'est dans les années 1740 qu'il naviguera du côté de l'île Bourbon (aujourd'hui île de la Réunion) pour le compte de la Compagnie des Indes.
+Dès les premières lignes de son roman, Hélène Villbois-Coïc nous propose une magnifique évocation du manoir de ses ancêtres : « <i>Plaqué contre le mur de façade, Antoine de Geslin maintenait obstinément ses paupières closes. Le granit diffusait dans son dos la chaleur capturée à l'été en déclin ...</i> ».
-Ce personnage de fiction s'inscrit donc comme le représentant de la double génération de Charles et de Jean-Marie :
+Dans la postface elle nous explique que la vie de Jean-Marie de Geslin, enseigne de vaisseau du Roy, l'a inspirée, mais elle s'en est volontairement affranchie : « <i>Un recensement d'Ergué-Gabéric datant de 1790 <ref>Article écrit et étude menée par Jean Cognard. Première publication : bulletin municipal de la commune d'Ergué-Gabéric de décembre 1982. : {{Tpg|1790 - Un recensement inédit à Ergué-Gabéric}}</ref>, consulté en 2006 sur le site de l'association Arkae, m'a immédiatement permis de connaître le nom des propriétaires de Pennarun ... La famille était déjà à Pennarun au début du 18e, dès 1698, un certain Jean-Baptiste Geslin habite le manoir ... Garder le nom d'une personne ayant existé comme personnage central me paraissait très contraignant, j'ai donc préféré inventer un membre à cette famille : Antoine était "né"</i> ».
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+Elle fait donc naître son héros en juillet 1725, lui donne comme père Jean-Baptiste « <i>homme lettré et subtil</i> », et c'est dans les années 1740 qu'il naviguera du côté de l'île Bourbon (aujourd'hui île de la Réunion) pour le compte de la Compagnie des Indes. Ce personnage de fiction s'inscrit donc comme le représentant de la double génération de Charles (né en 1708) et de Jean-Marie (né en 1737) :
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