ROZEC Jean-Louis - Trec'h ar garantez - GrandTerrier

ROZEC Jean-Louis - Trec'h ar garantez

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L'auteur, l'abbé Jean-Louis Rozec a signé trois romans en breton sous le pseudonyme de Brogarour qui signifie « <i>amoureux de son pays</i> ». Né à Plouescat en 1898, il meurt à Guipavas en 1946 ou il était prieur des missionnaires montfortains. Ardent missionnaire il prêcha de nombreuses missions entre les deux guerres. Il est cité par Gustave Guéguen pour avoir animé une réunion à Lestonan en 1944. Il a certainement animé d'autres missions à Ergué pour connaitre aussi finement le contexte de Lestonan et d'Odet ou il situe son roman. L'auteur, l'abbé Jean-Louis Rozec a signé trois romans en breton sous le pseudonyme de Brogarour qui signifie « <i>amoureux de son pays</i> ». Né à Plouescat en 1898, il meurt à Guipavas en 1946 ou il était prieur des missionnaires montfortains. Ardent missionnaire il prêcha de nombreuses missions entre les deux guerres. Il est cité par Gustave Guéguen pour avoir animé une réunion à Lestonan en 1944. Il a certainement animé d'autres missions à Ergué pour connaitre aussi finement le contexte de Lestonan et d'Odet ou il situe son roman.
-L'intrigue est simple : Gwennole footballeur des Paotred Dispont au poste de goal, instituteur à l'école catholique de Lestonan tombe amoureux de la fille du directeur de l'école laique. Instituteur dynamique Gwennole arrive à séduire nombre de familles qui inscrivent leurs enfants à l'école libre au grand dam des instituteurs de l'école publique. L'idylle se construit sur fonds de guerre scolaire et comme l'indique le titre se termine par le triomphe de l'amour sur les pesanteurs sociologiques du moment.+L'intrigue est simple : Gwennole footballeur des Paotred Dispont au poste de goal, instituteur à l'école catholique de Lestonan tombe amoureux de la fille du directeur de l'école laïque. Instituteur dynamique Gwennole arrive à séduire nombre de familles qui inscrivent leurs enfants à l'école libre au grand dam des instituteurs de l'école publique. L'idylle se construit sur fonds de guerre scolaire et comme l'indique le titre se termine par le triomphe de l'amour sur les pesanteurs sociologiques du moment.
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ROZEC (Brogarour) (Jean-Louis), Trec'h ar garantez (La victoire de l'amour), Editions d'Arvor, Guingamp, 1935, ISBN -
Titre : Trec'h ar garantez (La victoire de l'amour)
Auteur : ROZEC (Brogarour) Jean-Louis Type : Livre/Brochure
Edition : Editions d'Arvor Note :
Impression : Guingamp Année : 1935
Pages : 160 Référence : ISBN -

Notice bibliographique

le père Rozec
le père Rozec

L'auteur, l'abbé Jean-Louis Rozec a signé trois romans en breton sous le pseudonyme de Brogarour qui signifie « amoureux de son pays ». Né à Plouescat en 1898, il meurt à Guipavas en 1946 ou il était prieur des missionnaires montfortains. Ardent missionnaire il prêcha de nombreuses missions entre les deux guerres. Il est cité par Gustave Guéguen pour avoir animé une réunion à Lestonan en 1944. Il a certainement animé d'autres missions à Ergué pour connaitre aussi finement le contexte de Lestonan et d'Odet ou il situe son roman.

L'intrigue est simple : Gwennole footballeur des Paotred Dispont au poste de goal, instituteur à l'école catholique de Lestonan tombe amoureux de la fille du directeur de l'école laïque. Instituteur dynamique Gwennole arrive à séduire nombre de familles qui inscrivent leurs enfants à l'école libre au grand dam des instituteurs de l'école publique. L'idylle se construit sur fonds de guerre scolaire et comme l'indique le titre se termine par le triomphe de l'amour sur les pesanteurs sociologiques du moment.

Critiques et illustrations

« L'intrigue parait aujourd'hui bien conventionnelle, tout comme la psychologie des personnages, tous fortement stéréotypés ; mais le roman garde un certain intérêt par la peinture de l'environnement et des mentalités aussi manichéen et même aussi puéril fût-il par moments ». Francis Favereau, Anthologie de la littérature bretonne, Tome II, p.p. 137-143.

« Un roman que l'on peut lire sans peine jusqu'à la fin ». Gwalarn 1935.

« Il (J.L.Rozec) écrirait de bons livres s'il voulait bien se rapprocher davantage de la vie et s'éloigner de l'apostolat ». Abeozen, Histoire de la littérature bretonnante contemporaine.

Texte complet : Trec'h ar garantez

 

Extraits et traductions

Les vrais noms de personnes et de lieux, hormis Odet, ont été modifiés par l'auteur. Pour s'y retrouver il faut lire Bolloré à la place de Keraudren, Keranna pour le village de Sainte-Anne ...

 

Et les écoles chrétiennes sont bien entendu celles de Lestonan-Menez-Groaz, à savoir les écoles St-Joseph et Ste-Marie, construites sous la coupe de l'entrepreneur Keradren, aka Keraudren.

Début du roman :

Trec'h ar Garantez
Brogarour

Milin-baper an Odet a zo e parrez Erge-Gaberig harp ouz kêr Kemper. Erge-Gaberig zo anavezetoc'h war dro Kemper dindan an ano Erge-Vras. An Erge-Vihan eo ar barrez amezek Erge-Armel.

Evit mont eus Kemper d'ar vilin-baper e vez kemeret hent Kore. Eul leo hanter bennak eus Kemper e kaver eun hent a gleiz el lec’h anvet Park-al-Lann. O vont gant an hent-se ez engaver, eun daouzek kant metr bennak pelloc’h, gant tiez kenta an Odet.

Araok diskenn e traonienn an Odet, a gleiz, daou di-skol stummet kaer. Soñjal a rit dioustu ez int skoliou ar C'houarnamant, dre ma n'eo ket ar gatoliged kustum da gaout paleziou evit skolia o bugale. Fazia a rit en taol-mañ.

An daou di-mañ eo an daou di-skol kristen. Breudeur ar gelennadurez kristen, bugale ar beleg santel Yann-Mari La Mennais a zo e penn skol ar baotred. Skol ar baotrezed a zo e karg leanezed ar Spered-Santel pe « al Leanezed gwenn ».

Mestr madelezus ar vilin-baper, an Aotrou Keraudren, eo en deus savet ar skoliou-mañ evit bugale e labourerien.

E hanter an diskenn, a-zehou, ar pez a c'halver « ar gêriadenn », kêriadenn Santez-Anna pe tiez al labourerien. En tu all d'an hent, dirak tiez Santez-Anna, war an izel, eul letonenn gaer : tachenn-c'hoari ar « Baotred-Dispont » A-drek an dachenn, ouz he linenna, emañ ti ar patronaj. Kaeroc'h ne gaver ket kalz e Breiz. Eur c'hoariva a zo ennan ha binviou evit an embregerez-korf. War an dalbenn trigorniek giz breizek bremañ e lenner « Patronage du Sacré-Cœur ». Skeudenn ar Galon-Sakr a sked war korn uhela an dalbenn.

E tro kein ar patronaj e kaver eun tiig all, ti ar c'hoariou : boulou-taol, kartou, pionou hag all..... Mestr ar vilin-baper en deus graet mat ha brao....

 

Traduction française (début du roman) :

"Le moulin à papier d’Odet se trouve dans la paroisse d’Ergué-Gabéric en bordure de Quimper. Ergué-Gabéric est plus connu dans le pays quimpérois sous le nom de Grand-Ergué, alors que le Petit-Ergué représente la paroisse d’Ergué-Armel.

Pour venir de Quimper au moulin à papier il faut emprunter la route de Coray. A environ quatre kilomètres de Quimper, au lieu-dit Parc-al-Lann, on trouve une route à gauche. En la prenant, 200 mètres plus loin on aperçoit les premières maisons d’Odet-Lestonan.

En poursuivant la descente vers la vallée de l'Odet, à gauche, se présentent deux magnifiques écoles. On pourrait croire qu’il s’agit d’écoles publiques car les catholiques ne nous ont pas habitué à placer leurs enfants dans des palais. Mais sur ce coup-là on se tromperait.

Les deux écoles sont bien des écoles chrétiennes. Les frères de la Congrégation du saint prêtre « Jean Marie La Mennais » sont à la tête de l’école des garçons. L’école des filles est gérée par les religieuses de l'Esprit-Saint, appelées aussi les « Sœurs blanches ».

C'est le patron bienveillant du moulin à papier, Monsieur Keraudren qui fit construire ces deux écoles pour les enfants des employés de son entreprise.

A mi-descente, à droite, le village de Sainte-Anne, si on peut utiliser le terme de village, c’est plutôt une cité ouvrière. De l’autre côté de la route, en contrebas, une très belle pelouse : le terrain de jeu des Paotred-Dispont. Devant le terrain est aligné le bâtiment du patronage. On n’en trouve peu d’aussi beaux en Bretagne. Il y a aussi un théâtre et tous le matériel pour faire de l’éducation physique. Sur le fronton triangulaire, en grande mode actuellement en Bretagne, on peut lire « Patronage du Sacré-Coeur ». Et le motif du sacré-cœur, en haut du fronton, est éclatant.

A l’arrière du patronage on trouve un autre local consacré aux jeux : billots de boules, jeux de cartes et de pions … Le patron du moulin à papier a bel et bien fait les choses …"

Match de foot :

Brao-brao ! Gwennig !

Hag ar sellerien a strak o daouarn da baler ar « Baotred Dispont ».

— Piou eo ar paler ouesk-se ? a c'houlenn eur vaouez demdost da Youen Ar Berr.

Youen, ha ne c'houlenn ket gwelloc’h eget ober eur varvailhadenn (an Aotrou kure a zo aet kuit, end-eeun, da gavout an aluzenner war linenn an dachenn-c'hoari), a lavar d'ezi dre dostaat :

— Itron, ar paotr yaouank-se a zo eur pabor, m'hel lavar d'eoc'h. N'eus ket en Odet eun den ken barrek hag heñ war an embregerez-korf, n’eus ket zoken e rann-vro Kemper nag e Kerne a-bez. Anaout mat a raen e dad, Doue r’e bardono ! Lazet eo bet dek vloaz bennak a zo o labourat er vilin-baper. Eun den hegarat oa heñ, e c’hellit va c'hredi. Karet gant an holl dre ma ‘z oa mat ouz an holl ha dre ma lakae an traou atao war eeun. Ad-mestr oa er vilin-baper....

— Ha pe ano en deus e vab ?

— Gwennole, evel e dad, Gwennole Naour…

Youen, anat eo, ne c'houlenn ket gwelloc'h eget kenderc'hel. Met an Itron. ne selaou ket ken. Awalc'h he deus da ober o sellout ouz Gwennole o tifenn ar pal. Ha Gwennole en deus ivez awalc'h da ober evit mirout ouz ar polotr mont etre ar barrennou, er roued. Gant e dreid, e zaouarn, e benn e vir outan bep taol da dremen e-biou d'ar porzier.

An holl a wel peurvat eo kreñvoc'h ar Yaouerien hag an holl a soñj ivez ne vezo ket Gwennole evit mirout ouz an holl paliou. Da skuiza e teuy buan hag ar polotr, a-barz ar fin, a gavo tro da vont da ruilh e dounder ar roued staget ouz ar varrenn koat treuz a-dreñv da linenn ar pal. Ar « Baotred Dispont » a ve lavaret holl fall-galonet. An dud a gri warno.

— Alo ! Paotred Dispont ! na lezit ket Gwennole d'en em greñvi ?

Ar barner tredeog a ra sellou du ouz an dud. Arabat e ve fallgalonet ar Yaouerien d’o zro diwar goust ar sellerien. Ar reizded da genta. Evel p'o defe bet eun taol-skourjez, ar Baotred Dispont a laka bremañ o holl imor, met an amzer a dremen. Emañ ar c’hoariadenn genta, an tri c'hart eur kenta, o vont da deuzi.

Unan eus warlerc'hidi ar « Baotred Dispont » a c'hall gant eun taol troad skoet kreñv hag eeun kas ar polotr er penn all d'an dachenn. Hanteriad kreiz ar « Yaouerien » en em gav da genta warnan, met mankout a ra e daol, re vuan eo aet gant aon rak Lan Gourmelen, araoger-kreiz an Odet, hag a deue warnan a-benn herr. Ar polotr ne yeas ket da bell. Mignon Lan, an araoger etre-daou, e baskas hag eur pennadig goude e roe hen da Lan. Lan a ya, a ya gant ar gleurou. Emañ o vont da skei kalet wardu ar pal, pa deu, na ouzer ket penaos, warlerc'hiad ar Yaouerien da laerez ar polotr.

An dud n'o deus ket bet amzer da welout penaos eo tremenet an traou p'emañ ar polotr adarre dirak pal paotred an Odet. An hanteriad-dehou en deus e baket ha taolet e kreiz d’an araoger-kreiz Loeiz Neveu. Hemañ ne goll ket e amzer ha, goude beza gounezet unan eus ar warlerc'hidi eneberien, a sko sec’h etrezek ar pal. Gwennole n'en deus ket gwelet mat, kuzet m'eo bet ar polotr d'ezan gant an eil warlerc’hiad. Ar polotr a dremen an nor hag a ya da ziskuiza e dounder ar roued.

Ar Yaouerien : l ; Paotred Dispont : 0.

An ehan a zo sutet dioustu goude.

— N’em eus ket lavaret d'eoc'h, Aotrou kure ? koll int pa lavaran. Kalz eo kreñvoc'h ar « Yaouerien »…

 

Bravo, Gwennig !

Et les spectateurs applaudirent des deux mains le buteur des Paotred Dispont.

- Qui est ce footballeur si doué ? demande une femme qui se trouve à proximité de Youenn Le Ber.

Youenn, qui ne demande pas mieux que de faire la causette - Monsieur le vicaire étant parti, précisément, trouver l'aumônier sur la ligne de touche - lui répond tout en s'approchant.

- Madame, ce jeune homme, c'est un champion, je vous l'affirme. Il n'y a pas dans tout Odet quelqu'un d'aussi sportif et d'aussi bon en gymnastique : il n"a même pas son égal dans toute la région de Quimper ni dans la Cornouaille toute entière. Je connaissais bien son père, Dieu ait son âme ! Il a été tué voilà une dizaine d'années, victime d'un accident de travail à la papeterie. C'était un homme affable, vous pouvez me croire. Et apprécié de toute la population, parce qu'il était bon envers tout le monde et qu'il essayait de tout arranger au mieux. Il était contremaître à la papeterie ...

- Et comme s'appelle son fils ?

- Gwennole, comme son père. Gwennolé Naour ...

Youenn, c'est évident, ne demande qu'à poursuivre la conversation. Mais la jeune Dame n'écoute plus. Elle a assez à faire à regarder Gwennole en défenseur du ballon. Et Gwennole a également fort à faire pour empêcher la balle de pénétrer entre les montants, dans les filets. Ce sont ses pieds, ses mains, sa tête, à chaque tir, au gardien de la laisser entrer.

Tous réalisèrent parfaitement que l'équipe des Yaouerien (les Cadets rennais ?) est la plus forte et tous pensent également que Gwennole ne pourra pas stopper tous les buts. Il viendra vite à se fatiguer et le ballon, finalement, trouvera une occasion de rouler dans les profondeurs du filet, suspendu à la barre transversale à l'arrière de la ligne de but.

On a l'impression que les Paotred Dispont en sont déjà tout démoralisés. Les spectateurs les encouragent de leurs cris :

- Allez ! les Paotred Dispont ! Vous n'allez pas laisser Gwennole crever à la tâche ?

Le juge-arbitre jette un regard désapprobateur au public. Il ne faudrait pas que l'équipe adverse soit défavorisée à son tour à cause des spectateurs. L'équité est la première des règles à respecter. Les Paotred Dispont, à présent, font montre de toute leur rage de vaincre, comme s'ils avaient reçu un coup de semonce, mais le temps s'écoule. La première mi-temps, les trois premiers quarts d'heure s'achèvent.

L'un des arrières de l'équipe des Paotred Dispont réussit, d'un direct puissamment frappé, à envoyer le ballon vers les buts adverses. C'est le milieu de terrain des Yaouerien qui le récupère en premier, mais il rate son dégagement, car il y est allé trop précipitamment, de peur de perdre le ballon au profit de Lan Gourmelen, l'avant-centre de l'Odet, qui se précipitait dans sa direction. Le ballon n'est pas allé bien loin. Le copain de Lan, un demi en retrait, l'attrape puis, un instant après, le transmet à Lan. Lan s'échappe et fonce droit devant, balle au pied. Il s'apprête à tenter un puissant tir au but lorsque surgit, on ne sait d'où ni comment, un défenseur des Yaouerien pour récupérer le ballon.

Le public n'a pas eu le temps de voir comment les choses se sont passées que le ballon est de nouveau devant les buts de l'équipe de l'Odet. Le demi d'ouverture droit l'a rattrapé et envoyé au centre, en direction de l'avant-centre Louis Neveu. Celui-ci ne perd pas de temps, et, après avoir feinté un des arrières du camp adverse, il tire et marque un but imparable entre les poteaux. Gwennole n'a pas bien suivi le jeu, car le second arrière lui dissimulait le ballon, qui passe la porte et va se blottir au fond du filet.

Yaouerien : 1 ; Paotred Dispont : 0.

Peu de temps après, l'arbitre siffle la mi-temps.

- Je ne vous l'ai pas dit, Monsieur le vicaire. Ils sont en train de perdre, que je vous dis. L'équipe des Yaouerien est nettement supérieure.




Thème de l'article : Fiche bibliographique d'un livre ou article couvrant un aspect du passé d'Ergué-Gabéric

Date de création : février 2007    Dernière modification : 26.02.2013    Avancement : Image:Bullgreen.gif [Fignolé]