LE GRAND Albert - La vie de Guen-Ael ou Guenaut - GrandTerrier

LE GRAND Albert - La vie de Guen-Ael ou Guenaut

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Du temps que Conan Meriadec, premier roy Chrestien de la Bretagne Armoricaine residoit en la ville de Nantes, pour plus aisément reprimer les course des Poictevins & Aquitains, il avoit laissé le gouvernement du Conté de Cornouaille, à un noble Seigneur, nommé le Comte <i>Romelius</i>, lequel eut pour espouse une dame de Maison, non moins illustre, appellée <i>Levenez</i>; & ils faisoient, leur ordinaire demeure en la ville de <i>Kemper-Odetz</i> (qui, depuis, fut nommée Kermper-Corentin), capitale de leur gouvernement. Ce furent les pere & mere de nostre Saint, qui leur nasquit l'an de de grace 306, sous le Pontificat du Pape S Sirice, & l'impire d'Arcadius & Honoré, & fut nommé, sur les Fonds de baptesme, GUEN-AEL, c'est à dire, en breton<i>Ange blanc</i>, présage de la candeur & innocence Baptismale qu'il recevait & qu'il conserva toute sa vie. Ayant passe les plus tendres années de son enfance, lors qu'il commença à parler distinctement, sa mere luy apprit son Catechisme & les principes de nostre créance, &, le croyant capable d'apprendre quelque chose de plus relevé, on luy bailla un precepteur, pour l'instruire & élever en la vertu & és bonnes lettres, esquelles il faisait un notable progrez, l'estude n'atiedissant en luy la ferveur de l'Oraison. Du temps que Conan Meriadec, premier roy Chrestien de la Bretagne Armoricaine residoit en la ville de Nantes, pour plus aisément reprimer les course des Poictevins & Aquitains, il avoit laissé le gouvernement du Conté de Cornouaille, à un noble Seigneur, nommé le Comte <i>Romelius</i>, lequel eut pour espouse une dame de Maison, non moins illustre, appellée <i>Levenez</i>; & ils faisoient, leur ordinaire demeure en la ville de <i>Kemper-Odetz</i> (qui, depuis, fut nommée Kermper-Corentin), capitale de leur gouvernement. Ce furent les pere & mere de nostre Saint, qui leur nasquit l'an de de grace 306, sous le Pontificat du Pape S Sirice, & l'impire d'Arcadius & Honoré, & fut nommé, sur les Fonds de baptesme, GUEN-AEL, c'est à dire, en breton<i>Ange blanc</i>, présage de la candeur & innocence Baptismale qu'il recevait & qu'il conserva toute sa vie. Ayant passe les plus tendres années de son enfance, lors qu'il commença à parler distinctement, sa mere luy apprit son Catechisme & les principes de nostre créance, &, le croyant capable d'apprendre quelque chose de plus relevé, on luy bailla un precepteur, pour l'instruire & élever en la vertu & és bonnes lettres, esquelles il faisait un notable progrez, l'estude n'atiedissant en luy la ferveur de l'Oraison.
-<spoiler text="II. Dés qu'il commença à connoistre le monde ...">II. Dés qu'il commença à connoistre le monde, il commença aussi à le mépriser, & s'accrut tellement ce mépris en son Ame, qu'il se resolut de le quitter entierement & se rendre Religieux en quelque Monastere. Sur cette resolution, . Wennolé, nouvellement beny Abbé du Monastere de Land-Tevenec en Cornouaille, fondé par le Roy Grallon, lors regnant, assisté de quatre de ses Religieux, vint à Kemper, , visiter son maistre S. Corentin, premier Evesque de Cornoûaille ; & comme il passoit par une rué, nostre S. Guen-œl, qui joiloit sur le pavé avec quelques autres enfans de son âge, quittant ses jeux puerils, s'encourut vers luy, se mit à genoux & demanda sa benediction. Saint Wennolé, lisant en son visage quelque présage de future Sainteté, jugea que Dieu luy adressait cét enfant, pour servir, un jour, d'ornement à son Monastere, &, le caressant doucement, luy dit : a El bien [man fils) voulez-vous venir quant & nous pour servir Dieu en nostre Monastere? Orly, mon Pere [répondit Caen-tel) c'est la chose que plus je desire en ce monde, & vous promets, dés à present, que je veux passer ma vie au service de Dieu, sous vostre Regle & Discipline. » Et, disant cela, il quitta tous ses compagnons & suivit le saint Abbé, lequel, pour éprouver sa perseverance, luy dit : Non, mon enfant, retournez-vous en chez vostre pere, le chemin d'icy au Monastere est long & difficile, vous ne sçauriez nous suivre. L'enfant luy répondit : Mon Pere, j'ay quelques fois oug lire, dans l'Evangile, que quiconque met la main à la charrié & regarde en arriere n'est pas propre pour le Ciel ; comment donc pourray-je, sans danger de mon salut, abandonner la resolution quej'ag fait de nie dedier au service de Dieu en vostre Monastere? S. Wennolé, admirant sa perse-verance, le conduisit chez ses pere & mere, &, de leur consentement, l'emmena en son Monastere, & prit luy-mesme le soin de son instruction. +<spoiler text="II. Dés qu'il commença à connoistre le monde ...">II. Dés qu'il commença à connoistre le monde, il commença aussi à le mépriser, & s'accrut tellement ce mépris en son Ame, qu'il se resolut de le quitter entierement & se rendre Religieux en quelque Monastere. Sur cette resolution, S. Wennolé, nouvellement beny Abbé du Monastere de <i>Land-Tevenec</i> en Cornouaille, fondé par le Roy Grallon, lors regnant, assisté de quatre de ses Religieux, vint à Kemper, visiter son maistre S. Corentin, premier Evesque de Cornouaille ; & comme il passoit par une rue, nostre S. Guen-ael, qui jouoit sur le pavé avec quelques autres enfans de son âge, quittant ses jeux puerils, s'encourut vers luy, se mit à genoux & demanda sa benediction. Saint Wennolé, lisant en son visage quelque présage de future Sainteté, jugea que Dieu luy adressait cet enfant, pour servir, un jour, d'ornement à son Monastere, &, le caressant doucement, luy dit : « <i> Et bien (mon fils) voulez-vous venir quant & nous pour servir Dieu en nostre Monastere ? Ouy, mon Pere (répondit Guin-ael) c'est la chose que plus je desire en ce monde, & vous promets, dés à present, que je veux passer ma vie au service de Dieu, sous vostre Regle & Discipline.</i> » Et, disant cela, il quitta tous ses compagnons & suivit le saint Abbé, lequel, pour éprouver sa perseverance, luy dit : <i>Non, mon enfant, retournez-vous en chez vostre pere, le chemin d'icy au Monastere est long & difficile, vous ne sçauriez nous suivre.</i> L'enfant luy répondit : <i>Mon Pere, j'ay quelques fois ouy lire, dans l'Evangile, que quiconque met la main à la charruë & regarde en arriere n'est pas propre pour le Ciel ; comment donc pourray-je, sans danger de mon salut, abandonner la resolution que j'ay fait de me dedier au service de Dieu en vostre Monastere ?</i> S. Wennolé, admirant sa perseverance, le conduisit chez ses pere & mere, &, de leur consentement, l'emmena en son Monastere, & prit luy-mesme le soin de son instruction.
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-<spoiler text="III. Ce fut la septiéme année de son âge ...">III. Ce fut la septiéme année de son âge, & de nostre salut l'an 402. qu'il vint à Land-Tevenec, & y passa trois années en habit séculier, comme pensionnaire, en grande impatience de recevoir l'habit, dont il faisoit continuellement instance à saint Wennolé & aux autres Religieux, lesquels enfin luy accorderent sa requeste, & il fut vêtu en presence du Roy Salomon I. du nom & de toute sa cour, qui fondait en larmes, voyant un jeune Seigneur, en un âge si tendre, fouler genereusement aux pieds les vanitez du monde & embrasser courageusement la Croix de la Penitence. Il coulait la dixiéme de son âge, qu'on comptoit de nostre salut l'an 405. &, nonobstant son jeune âge, il s'adonna avec tant de soin à l'acquisition des vertus, qu'en bref il égala les plus anciens & parfaits Religieux du Monastere. Jamais on ne le trouvoit oysif; il passoit les nuits à prier & lire la sainte Escriture , assistoit devotement au Choeur, de nuit & de jour ; son humilité paroissoit en toutes ses paroles & actions ; il supportait patiemment les infirmitez de son prochain, & jamais ne murmuroit de chose qui se passast ; il conserva soigneuse-ment sa chasteté, & pour mieux s'en asseurer, il cherissoit la mortification &les rigueurs & austeritez ; il jefinoit presque continuellement ; endurait les chaleurs de resté & les froideurs de l'hyver, estant également vestu en l'une & l'autre saison. Pendant les plus grands froids de l'hyver, tous les soirs, lors que les Religieux s'estaient retirez en leurs Cellules, il alloit au bas du jardin du Monastere, &, se dépoiiillant tout nud, horsmis de son Cilice, il se plongeoit jusqu'aux aisselles dans l'estang ou vivier qui estoit en ce lieu, &, en cét estat, recitoit les sept Psalmes Penitentiaux, pour les Bien-faiteurs de son Monastere. +<spoiler text="III. Ce fut la septiéme année de son âge ...">III. Ce fut la septiéme année de son âge, & de nostre salut l'an 402. qu'il vint à <i>Land-Tevenec</i>, & y passa trois années en habit séculier, comme pensionnaire, en grande impatience de recevoir l'habit, dont il faisoit continuellement instance à saint Wennolé & aux autres Religieux, lesquels enfin luy accorderent sa requeste, & il fut vêtu en presence du Roy Salomon I. du nom & de toute sa cour, qui fondoit en larmes, voyant un jeune Seigneur, en un âge si tendre, fouler genereusement aux pieds les vanitez du monde & embrasser courageusement la Croix de la Penitence. Il coulait la dixiéme de son âge, qu'on comptoit de nostre salut l'an 405 &, nonobstant son jeune âge, il s'adonna avec tant de soin à l'acquisition des vertus, qu'en bref il égala les plus anciens & parfaits Religieux du Monastere. Jamais on ne le trouvoit oysif ; il passoit les nuits à prier & lire la sainte Escriture , assistoit devotement au Choeur, de nuit & de jour ; son humilité paroissoit en toutes ses paroles & actions ; il supportait patiemment les infirmitez de son prochain, & jamais ne murmuroit de chose qui se passast ; il conserva soigneusement sa chasteté, & pour mieux s'en asseurer, il cherissoit la mortification & les rigueurs & austeritez ; il jeûnoit presque continuellement ; endurait les chaleurs de resté & les froideurs de l'hyver, estant également vestu en l'une & l'autre saison. Pendant les plus grands froids de l'hyver, tous les soirs, lors que les Religieux s'estaient retirez en leurs Cellules, il alloit au bas du jardin du Monastere, &, se dépoiiillant tout nud, horsmis de son Cilice, il se plongeoit jusqu'aux aisselles dans l'estang ou vivier qui estoit en ce lieu, &, en cét estat, recitoit les sept Psalmes Penitentiaux, pour les Bien-faiteurs de son Monastere.
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Version du 29 mars ~ meurzh 2015 à 09:41


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Statut de l'article : Image:Bullgreen.gif [Fignolé] § E.D.F.

LE GRAND (Albert), « La vie de Guen-Ael ou Guenaut », dans Les Vies des Saints de la Bretagne Armorique, Pierre Doriou (I)-Ferré et Jean Vatar (II)-Veuve de Jean Vatar (III)-P. Anner et fils (IV)-J. Salaün (V), Nantes-Rennes-Rennes-Brest-Quimper, 554-561
Titre : La vie de Guen-Ael ou Guenaut
Auteur : LE GRAND Albert Type : Article
Edition : Pierre Doriou (I)-Ferré et Jean Vatar (II)-Veuve de Jean Vatar (III)-P. Anner et fils (IV)-J. Salaün (V) Publication : Les Vies des Saints de la Bretagne Armorique
Impression : Nantes-Rennes-Rennes-Brest-Quimper Année : 1636-1659-1680-1837-1901
Pages : 554-561 Référence : NA

Notice bibliographique

Couverture
Une fiction d'Eloan Kroaz parue en décembre 2014 "Le concile de Merlin" : « Nous avions décidément une assemblée remarquable ! Guénolé, fondateur prestigieux et sage de l’abbaye de Landevenec, et son disciple Gwénael, pressenti pour être son successeur. »

Dans ce livre initialement publié en 1636 par le dominicain breton A. Le Grand de Morlaix, et dont la 2e édition fut revue, corrigée, augmentée et éditée par le gabéricois Guy Autret, historien et sieur de Missirien et de Lézergué, page 554 à 561 on y trouve la vie ou hagiographie d'un autre gabéricois célèbre, saint Gwenaël, qui, né au village de Tréodet, sera le deuxième abbé de Landévennec.

Dans son étude très documentée sur saint Gwenael, Fanch Morvannou signale à plusieurs reprises certains points de vue avancés par le livre d'Albert Le Grand : la variante St-Guenaut en Ile-de-France (p.10), la tradition cornouaillaise et gabéricoise dans la note d'A.M. Thomas (p. 26), les bréviaires diocésains de Léon, Cornouailles et Vannes (p. 30), les 50 ans à son élection à Landévennec (p. 56), le retour à Landévennec pour trois ans (p. 60) ...

Saint Guenael est présenté par Albert Le Grand comme d'extraction noble et de Quimper-Odetz : « Du temps que Conan Meriadec, premier roy Chrestien de la Bretagne Armoricaine, ... un noble Seigneur, nommé le Comte Romelius, lequel eut pour espouse une dame de Maison, non moins illustre, appellée Levenez; & ils faisoient, leur ordinaire demeure en la ville de Kemper-Odetz ».

Dans l'édition de 1901, le chanoine honoraire A.-M. Thomas précise : « La tradition cornouaillaise est que sainbt Guenaël a vu le jour sur le territoire de la paroisse d'Ergué-Gabéric (le Grand Ergué) tout près de Kerfeunteun et de Quimper. Il a sa fontaine vénérée, dans le village qui est considéré comme le lieu de sa naissance. »

Autres lectures :« Saint Gwenhaël (6e siècle) » ¤  « LE GRAND Albert - Les Vies des Saints de la Bretagne Armorique » ¤ « MORVANNOU Fañch - Saint Guénaël » ¤ « Kantik da Sant Ginal » ¤ « Sant Gwenael » ¤ « Saint Guenaël d'Ergué-Gabéric, OF-LQ 1985 » ¤ « Chapelle de Kerdévot et saint Gwenêl en breton, Feiz ha breiz 1926 » ¤ « Hameau et carrière de Kerrous » ¤ « Village de Tréodet » ¤ « Les bannières paroissiales de saint Guinal, ND de Kerdévot, Tonkin, saint Michel et Fatima » ¤ 

Transcriptions extraits

Vie de saint Guen-Ael ou Guenaut [1]

Deuxième Abbé de Land-Tevenec, Confesseur, le 3. Novembre.

Du temps que Conan Meriadec, premier roy Chrestien de la Bretagne Armoricaine residoit en la ville de Nantes, pour plus aisément reprimer les course des Poictevins & Aquitains, il avoit laissé le gouvernement du Conté de Cornouaille, à un noble Seigneur, nommé le Comte Romelius, lequel eut pour espouse une dame de Maison, non moins illustre, appellée Levenez; & ils faisoient, leur ordinaire demeure en la ville de Kemper-Odetz (qui, depuis, fut nommée Kermper-Corentin), capitale de leur gouvernement. Ce furent les pere & mere de nostre Saint, qui leur nasquit l'an de de grace 306, sous le Pontificat du Pape S Sirice, & l'impire d'Arcadius & Honoré, & fut nommé, sur les Fonds de baptesme, GUEN-AEL, c'est à dire, en bretonAnge blanc, présage de la candeur & innocence Baptismale qu'il recevait & qu'il conserva toute sa vie. Ayant passe les plus tendres années de son enfance, lors qu'il commença à parler distinctement, sa mere luy apprit son Catechisme & les principes de nostre créance, &, le croyant capable d'apprendre quelque chose de plus relevé, on luy bailla un precepteur, pour l'instruire & élever en la vertu & és bonnes lettres, esquelles il faisait un notable progrez, l'estude n'atiedissant en luy la ferveur de l'Oraison.

§ II. Dés qu'il commença à connoistre le monde ...

§ III. Ce fut la septiéme année de son âge ...

§ IV. Il avoit vescu dans le Monestre 43 ans ...

§ V. Si-tost que saint Guen-ael & ses Confrères ...

§ VI. Aussi-tost qu'il fut arrivé à Land-Tevenec ...

§ VII. Ce saint Personnage n'acheva pas son année ...

§ VIII. Il seroit difficile d'exprimer avec quelle joye ...

§ IX. Il fut ensevely dans une petite Chapelle ...

Cette Vie a esté par nous recueillie des anciens Breviaires des Eveschez de Leon, Cornouaille et Vennes, qui en font Office et en ont la Legende en neuf leçons ; les vieux Legendaires manuscrits de Cornouaille, Vennes et Land-Tevenec ; les MSS. de la vie de S. Wennolé ; Pierre de la Barre en parle en ses Antiquitez de la Ville de Paris, et le Pere Le Bon, Chanoine Regulier de l'Abbaye de S. Victor de Paris, desquels l'a pris T. Friard, qui l'a ajoustée à la Legende de Ribadeneira, et le Pere Jacques de Breul, en son Theastre des Antiquitez de la Ville et Diocese de Paris, parlant dudit Prieuré de saint Guenault de Corbeil, met un abregé de sa vie.

ANNOTATIONS. [2]

§ Date et lieu de naissance de saint Guenael (A.-M. T.) ...

§ Différentes étapes dans la vie de saint Guenael (A.-M. T.) ...

§ Reliques de saint Guenael (A.-M. T.) ...

§ Les monuments de saint Guenael (A.-M. T.) ...

Facsimile

Annotations

  1. Appelé aussi Guen-Aël, Guinal, Vendel et Vendal. note A.-M. T. [Ref.↑]
  2. Les annotations d'A.M. Thomas ont été publiées dans l'édition de 1901. [Ref.↑]
  3. M. de la Borderie relève avec soin cette particularité; Warof ne perd jamais de vue les intérêts de la patrie bretonne. [Ref.↑]
  4. Un Lec'h est une sorte de menhir taillé, quelquefois très peu élevé, monument funéraire des Bretons insulaires et des Bretons armoricains du Ve au IXe siècle (A. de la Borderie). [Ref.↑]


Thème de l'article : Fiche bibliographique d'un livre ou article couvrant un aspect du passé d'Ergué-Gabéric

Date de création : Mai 2008    Dernière modification : 29.03.2015    Avancement : Image:Bullgreen.gif [Fignolé]