Généalogie d'une commune - Documents & Photos
Un article de GrandTerrier.
Initiatrice de l'article : Nicole Le Grand, Date de création : avril 2006
Sommaire |
[modifier] 1 LA GENEALOGIE
Qui un jour après le décès d'un proche, n'a pas regretté de ne pas l'avoir fait parler ? Questionner sur sa vie, se renseigner sur les photos que l'on retrouve aprés dans un carton, sans nom ni date. Par la découverte en faisant son arbre que l'on a des ancêtres bretons.Par la recherches de cousins cousines du fait de la forte mobilité à partir du 20ème siècle.
Nos aieuls, n'ayant pas de moyens de transport rapide, n'allaient pas loin pour chercher conjoints. Comme ils ne vivaient qu'à la lumière du jour de tres nombreuses naissances se faisaient, quasiment tous les ans. Certaines familles étaient plus chanceuses que d'autres, soit elles avaient de meilleures conditions de vie, soit une très bonne santé. Sur la dizaine d'enfants, il en restait souvent 3 ou 4 pour donner une descendance et ainsi de suite de 1600 à 1900, surtout que les nourrissons étaient présentés au chef du village, qu'il pleuve ou non, agé de 1 jour, par de longs chemins.
Les marièes étaient jeunes, souvent agées de 14-15 ans, soit elles arrivaient à l'age de 50- 60 ans avec le même époux, ou avec 2 voire 3, soit elles partaient très vite, généralement apres une naissance ou fausse couche et c'etait le mari qui se remariait 2, voir 3 ou 4 fois et eux aussi arrivaient tranquillement sur les 50-60. Ils n'attendaient guère la majorité poour se marier (25 ans.)
Heureusement, les demandes dans les fermes de journaliers et journalières permettaient un petit voyage dans le village d'à coté ou alors très loin, ce qui permettait d'éviter une trop grosse consanguinité. Certains partaient dans d'autres régions ou pays pour faire fortune ou pour ajouter un peu de beurre dans les épinards. Le choix se faisaient en fonctions de leur metier (bucherons, meuniers...), de leur rang dans la famille et ils partaient: pour la terre, la mer, l'armée, la religion par exemple.
Il faut pas oublier que nos aieuls ne savaient pas pour la plupart écrire, celui qui écrivait n'avait pas le français parfait, un nom ou un prénom est quasiment modifié à chaque acte passé, le breton parlé et la transcription en français n'étant pas évidente. Ne parlons pas des LE mis et omis, des prénoms modifiés, des erreurs d'écritures dans l'acte lui-même, l'épouse qui prend le nom de sa mère, une date de décès qui correspond à une autre personne (pour les actes d'après la révolution), et j'en passe.
Pour vraiment être sûr de son coup, il faudrait arriver à trouver les 3 actes, le plus facile étant le mariage, s'il donne la filiation. la naissance en recherchant le maximun d'enfants, si possible la totalité et la date de déces de tous ceux morts en bas âge permet de situé la date de mariage et de dcès des parents et d'eviter les fausses pistes. Le décès quant à lui pose plus de problème, soit on le trouve facilement car le nom du conjoint ou des parents est mis, soit c'est un jeu de piste, l'acte ne comporte aucun renseignement, la personne pouvant décéder dans un autre village soit par son métier, soit pour se rapprocher d'un de ces enfants, soit mort anonyme, corps trouvé dans un chemin, une rivière, un champ et que personne du village connait.
Mais par la généalogie on s'oriente souvent après avoir fait notre arbre, par l'étude des métiers, des orthographes de noms et de leurs origines, des villages où ils ont vécus, des anecdotes vécues durant toutes nos recherches, de l'histoire proprement dit et on veut en connaitre le plus. Tous ceux qui ont attrappé le virus, ne s'arrêtent pas au bout de 6 mois et continuent sur une autre partie.
N'hesitez pas à me contacter pour vos recherches sur ce coin de bretagne, ni a faire parvenr à Arkae toutes photos et écrits méritant un passage dans le site de vos aieuls ayant eu une activité ou jouer un rôle dans l'histoire du village. Et pour ceux qui sont partis au loin la raison , le comment et par qui. Nicole LE GRAND
[modifier] 2 LE RECENSEMENT DE 1790
Le recensement de 1790 est intéressant pour les généalogistes car, sur 51 pages, ce document identifie les 1609 habitants de la commune et donne leur lieu de résidence, leur âge et liens parentaux.
[modifier] 2.1 Archives
Etude du document d'archives :
[modifier] 2.2 Généalogie du village en 1790
Recherche des ascendants et collatéraux des personnes recensées :
[modifier] 3 ERGUE GABERIC DE 1600 à nos jour
[modifier] 3.1 Généalogie d'Henri Chauveur sur site généanet : [1]
[modifier] 3.2 Généalogie de Nicole Le Grand sur site généanet.Site remis à jour le 3/08/2006: [2]
[modifier] 3.3 Descendances sur 8 générations de nos plus vieux aieuls
Consultation:
Au local de 10 descendances de prêts ou par mel nlegran@club-internet.fr ou par cd car certaines descendances sont tres volumineuses.
Descendances prêtes (lien numéroté = descendance sur geneanet):
* AUFFRET Jean x LE BOUDER Marie [3] * AUFFRET Yves x PEZRON Louise [4] * BALBOUX Jean x CORNIC Marie [5] * LE BALCH Alain x BERNARD Anne [6] * LE BALCH Claude x RIOU Alain xx LE RESTE Yves [7] * LE BALCH François x RIOU Olive [8] * LE BALCH Tudal x BERNARD Jeanne [9] * BARRE Jean x LE LOUET Marie [10] * BARRE Jean x LE BARZ Blanche [11] * DENIEL Nôel x MEVELLEC Jeanne [12] * HUITRIC Alain x LE BOUDER Constance [13] * HUITRIC Jan x BARRE Jeanne [14]
Lieux :
Quasiment une descendance complète sur Ergué Gabéric, passage pour certains à Elliant, Briec, Ergué Armel, Saint Evarzec en majorité.
Cousinade :
- Un grand rassemblement des descendants de Jean RANNOU et COSTIOU Catherine à Elliant (Finistére) courant 2007
- descendants du couple marié vers 1630 à Elliant se faire connaitre par le site suivant en devenant membres et en contribuant à enrichir cette descendance
- EG commune voisine à héberger des descendants
- Un grand rassemblement des descendants de Jean RANNOU et COSTIOU Catherine à Elliant (Finistére) courant 2007
[modifier] 4 PHOTOS DES AIEULS
[modifier] 4.1 Individuel
[modifier] 4.2 Groupes
mariages, enterrements ou autres
[modifier] 5 PELERINAGE
Un bon nombre de gabéricois apres la guerre sont partis : en Correze, Dordogne, Ile de France par exemple.
Il serait intéressant de savoir quelles familles, par qui, comment et pourquoi ils sont arrivés dans ces régions