Chapelle et hameau de Kerdevot
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| La description de la chapelle est également résumée dans le document : [[Ergué#Chapelle_Notre-Dame_de_Kerdévot_:_retable_16e_.2C_fontaine|Ergué - Patrimoine religieux]] | La description de la chapelle est également résumée dans le document : [[Ergué#Chapelle_Notre-Dame_de_Kerdévot_:_retable_16e_.2C_fontaine|Ergué - Patrimoine religieux]] | ||
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Sommaire |
[modifier] 1 Présentation
[modifier] 1.1 Situation géographique
Géolocalisation = latitude 48.005917, longitude -3.981171
Kerdevot est un lieu de vie. Il faut imaginer ce lieu d'abord religieux comme étant aussi un endroit où les gens se réunissaient autour de l'auberge de Alain Lozach, mais aussi chez les forgerons, taillandiers, menuisiers et tailleurs installés sur ce site. Des notables, maire et adjoint, y résidaient aussi (cf. le tableau des habitants ci-après).
Pour illustrer l'importance du lieu, un acte de décés de Yves Jaouen, menuisier en 1699 est situé au "bourg de Kerdevot". Malgré ses dimensions imposantes, la désignation de "chapelle" tient au fait qu'elle n'est pas "église paroissiale". Ceux sont des dons fournis par les transations du marché comme le "don de chance", entre autres, qui ont permis sa construction et son entretien dans le passé.
[modifier] 1.2 Origine du nom
| Kerdévot | Signification : "Village de la dévotion"
Décomposition : Ker pour "lieu habité, village" et Devot "pieux, dévoué (à Dieu)". |
D'aprés Bernez Rouz :KERZEVOD Le village de la dévotion .
Il est prononcé KERZEOD .
La graphie KERDEVOT est un archaïsme .
[modifier] 1.3 Description
Une ferme à l'allure de manoir est mitoyenne avec la chapelle. Elle comporte plusieurs bâtiments actuellement en cours de rénovation et transformation. Un haut mur de clôture la cerne presque complétement.
[modifier] 2 Particularités
[modifier] 2.1 Chapelle N.-D. de Kerdevot.
La description de la chapelle est également résumée dans le document : Ergué - Patrimoine religieux
[modifier] 2.2 Kerdévot et son retable
Pour connaître le retable en détail lire le document => [Le retable de Kerdevot]
[modifier] 2.3 Le calvaire de Kerdevot
Lire la rubrique ==> [Les croix et calvaires d'Ergué-Gabéric]
[modifier] 3 Documents d'archives
[modifier] 3.1 Le pardon de Kerdevot
Un grand moment dans la vie d'Ergué-Gabéric et des communes environnantes => [Le pardon de ND de Kerdévot (J. Allouis, St-Evarzec)]
[modifier] 3.2 Le pardon de Kerdevot en 1674
Description par Alexandre DUMAS père :
[modifier] 3.3 Accident à Kerdevot en 1701
La chute d'éléments du clocher en Février 1701 => [Histoires locales relatées dans les registres et journaux]
[modifier] 3.4 Les fabriciens
Quelques visages d'anciens fabriciens de Kerdevot
En dehors de son rôle de fabricien de Kerdevot, Pierre Roumegou est l'un des créateurs du célébre Bagad de Lann-Bihoué. C'est un destin exceptionnel en Bretagne pour ce descendant de sabotiers Auvergnats !
Le conseil de fabrique Le « Général » appelé encore le « Conseil de fabrique » ou tout simplement la « Fabrique » était la représentation de la généralité des paroissiens. C'était à l'échelon de la paroisse l'équivalent du conseil municipal actuel de la commune.
Ses membres étaient appelés les « fabriciens » ou les « marguilliers » et même dans certaines inscriptions sur les églises les « fabriques ». Certains d'entre eux étaient nommés de droit : le recteur, le sénéchal et souvent le procureur fiscal. Les autres étaient élus par la généralité des paroissiens à l'occasion d'une grand-messe et généralement à l'issue de celle-ci.
Le conseil de fabrique gérait tout ce qui relevait du temporel de la paroisse : construction, rénovation et entretien de l'église, du presbytère ; gestion des revenus, obligations, dons, etc La fabrique était aussi le relais de l'administration fiscale pour le recouvrement auprès des paroissiens d'impôts comme les fouages ou la capitation. Pour ce faire, elle désignait des « égailleurs » qui étaient chargés de répartir par foyer (les feux) les impôts dont la charge globale était attribuée collectivement à la paroisse. Les égailleurs se servaient de subdivisions administratives telles que les frairies, les dîmeries, les parcelles ou les quartiers pour diviser les paroisses car le cadre de celles-ci était trop vaste pour établir un relais avec le contribuant de base. La frairie était une assiette administrative pour l'égaillage des impôts : tailles, redevances féodales, corvées, etc
La fabrique organisait les charrois pour l'entretien des chemins et c'était elle aussi qui, si on annonçait le passage d'une troupe sur la paroisse était chargé de pourvoir à ses besoins : hébergement, nourriture, etc.
Les fabriques ont eu une existence légale variée, aux yeux du pouvoir civil, même si elles étaient d'origine et de contrôle essentiellement ecclésiastique au départ. Les fabriques ont été l'objet, sous l'ancien régime, d'une réglementation abondante dont les principaux éléments furent : L'ordonnance de Blois, en 1579, qui stipule que les évêques doivent pourvoir, lors de leurs visites, au matériel nécessaire des paroisses ; l'édit de Melun, en 1580, ajoute que l'administration et l'inventaire sera fait par des marguilliers ; L'édit de Louis XIII, en 1610 oblige à utiliser tous les revenus des fabriques pour les fins auxquelles ils sont destinés (les marguilliers doivent en rendre compte à l'évêque) ; les lettres patentes de Louis XIII, du 4 septembre 1619, traitent du même sujet sur les fabriques en général.
Quelques actions de fabriciens dans le cadre de leur mandat Ces documents ont été relevés par Norbert Bernard.Ils sont de la plume de ANTOINE FAVE Vicaire à Ergué-Gabéric .
LE CORPS POLITIQUE ASSEMBLE
- -28 juillet 1770, — « En présence (des déiibérateurs) a esté retiré du coffre-forre la somme de quinze livres pour payer !e nommé Marc-Antoine iïaidini, peintre, pour a voir peinte la croix de Mission, plus esté retiré du coffre-forre de la chapelle de Nostre-Damme de Kerdévof pour payer ledit Baldini pour le marché consanty par luy au cor poleticque (sic) en date du cinq mars mil sept cent soixante et treize, pour peindre le grand aute et les deux autels collatero (sic) de lad. chapelle. Et a esté a landrolt payé et numéré audit Baldini la somme cy devant dénomés. » Nous ne savons rien autre du signor Marc-Antoine Baldini ;toutefois notre sympathie pour lui se trouve modérée parce que nous le soupçonnons véhémentement d'être le manœuvre qui prit sur !ui de retoucher le compartiment supérieur de notre retable de Kerdévot, représentant le Couronnement de la Sainte Vierge.
- -29 octobre 1780 — « A représenté Louis Le Bian, fabrique actuelle de la chapayle de Notre-Dame de Kerdévot qu'il estait nécessaire de délibérer sur l'offre faite par Monsieur Marquer, facteur d'orgue, ayant son domicile à Quimper, de faire les réparations portés audit devis pour !a somme de Neuf cent francs, et sui sera ladite somme payée parla moytier lorsque le somier.et les soufflets seront en place, et ie reste à ia fein de son ouvrage. »
Signé : F. MARQUER.
Aux Archives départementales, série B. on trouve sous les n" 805. 910. des procédures pour vols avec effraction dans BULLETIN Archéo. DU FINISTÈRE.i TOME XX. (Mémoires). 5.
La chapelle de Kerdévot
Le document ci-dessous est un extrait des archives du Finistére . Il relate l'affaire qui déclenche les procédures suivantes :
- -B.910- (Carton.) — 121 pièces, papier.
1736-1785. — Procédures criminelles. — Le procureur du Roi demandeur et accusateur contre : Jean Le Pappe et Jean et Joseph-Marie Caroff, accusés de vols avec effraction intérieure, en la sacristie de la chapelle de Kerdevot, paroisse d'Ergué-Gabéric, en la maison des Carmes du Pont-l'Abbé et au manoir de Keranézan, en la paroisse de Plomeur. Le dossier est incomplet et ne contient que l'interrogatoire des témoins (1774). — Vincent Lucas, accusé de vol d'argent, avec effraction, dans une maison des faubourgs de Quimper. Condamnation aux galéres â perpétuité. La sentence seule est au dossier (1774). —
Dans la sacristie
Ce document a été relevé par Norbert Bernard .
ces enquêtes criminelles sont de 1774.
Pont-l'Abbé/Plomeur, etc., avaient vu leurs sacristies et leurs églises visitées par des bandes de rôdeurs et d'escrocs- Le Parlement, pour arrêter ces dépradations, dut prendre un arrêt des plus sévères. Nous envoyons ,la mention faite aux délibérations du Corps politique d'Ergué.
- -1er décembre 1776. —« Conformément à l'arrêt rendu sur les remontrances et conclusions de Monsieur le procureur généralle du roy qui ordonne exécution de l'arrêt du treize décembre mil sept cent soixante, et qui et ejoint les paroisses de ferre coucher les sacristins dans les scacresties depuis !e premier novembre jusqu'au trente, avril de chaque année, einsy, la Cour faisant droit ordonne que l'arrêt du 13 décembre 1775 bien, dûment, exécuté en toutes les paroisses de la Province.
En conséquence enjoint et fait commander à ceux qui ont négligé l'exécution de sassembier huitaine après la réception du présent arrêt pour charger ie sacristain de coucher dans la scacristie leque!!e sera tenu d'avertir les. paroissiens soit par le son des cloches ou autrement des tentatives qui pourraient être faites pour s'Introduire dans l'église ou dans la la sacreste ou dans la chambre des dellibérations Et ce à raison de trois livres par mois de rétributions qui seront alloués dans ie compte des margilliers-Ordonne pareillement que sur le refus desdits sacristains il sera sur ie champ nommé d'autres particuliers qui voudraient souscrire lesdites conditions, et à défaut d'établir un gardien, condamne les dellibêrants de chaque paroisse où il sera, fait effraction conjointement soliderement sans répétition aux des réparations quelle occasionnera et ceux de la descente des juges et experts auxquels,.elle donnera lieu. » En conformité, etc.
- -En 1775, ie Corps politique s'assembla à S'annonce de huitaine à luy faite et choisit entre autres gens de probité Hervé Le Tytur "pour garder et dormir dans la scacrestie, elc..."
Ce qui fut exactement exécuté. « En coniformité du second arrêt du 12 novembre 1776, le Corps politique fut, assemblé... et connessant par continuation la probité dudit Hervé Le Tytur lont continué comme gardien de ladite sacrestie ou il a exactement couché à raison de trois livres par mois ..avec ordre de s'acquitter de toutes les obligations portées dans larrest de la Cour ou a défaut de ce d'être expulsé sur ie champ et d'être à sa place nommé un autre. »
- -14 novembre 1779. — « Par suite de la délibération après lectures te/tes au prône de ia grand'messe de larré qui ordonne de nommer un garde pour la sacristie, !e généraiie a nommé et nomme à cet effet Jacob Le Calloc'h, qui, après lectures dudit arrêt en langue vulguerre pour connêtre ses obligations et le somme de sy conformer'.
Le garde de nuit de Kerdevot en 1775:
le TYTUR Hervé .Il ne conservera le poste pas plus de 4 ans puisqu’un nouveau garde est nommé en 1779
Le garde de Kerdevot en 1779 : Jacob le CALLOCH né à Ergué-Gabéric le 25/07/1737: Fils de François le CALLOCH et de Marie le BARS union le 04/07/1764 à Ergué-Gabéric, 29 avec Gillette QUÉMÉRÉ enfant 1 : Marie Jeanne CALLOCH, née le 05/04/1765 à Ergué-Gabéric, 29 enfant 2 : François CALLOCH, né le 24/05/1770 à Ergué-Gabéric, 29 En 1765 et 1770 il habite Squividan
[modifier] 4 Les habitants du village
[modifier] 4.1 Tableau récapitulatif
| Les Habitants de KERDEVOT | ||||||||||
| Périodes | nb enfants | le | Noms | Prénoms | le | Noms | Prénoms | Unions | Professions | Observations |
| 1831-1836 | 4 | BERNARD | Hervé | le | Goff | Isabelle | 1830 | Menuisier | o 1808 | |
| 1813 | 1 | le | BERRE | Jean | le | GUYADER | Françoise | 1806 | Cultivateur | o 1779 |
| 1791 | BRIAND | Marie Jeanne | Domestique | o 1765 | ||||||
| AN2 | 1 | BINARD | corentine | |||||||
| 1819 | 1 | le | CLOAREC | Louis | le | POUPON | Marie anne | 1807 | Journalier -Cultivateur | o 1776 |
| 1817 | 1 | COUSTANS | Jean François | DANION | Marie Jeanne | 1810 | Cultivateur | o 1781 sœur yves corentin | ||
| 1791 | CORAY | Suzanne | Domestique | o 1771 | ||||||
| 1819-1821 | 3 | DANION | Yves Corentin | le | BERRE | Marie Mauricette | 1818 | Cultivateur | o An5 | |
| 1876 | 1 | DAOUDAL | Jacques | DROALEN | Marie Louise | 1873 | Journalier | o 1850 Elliant | ||
| 1875-1878 | 3 | DENES | Jean | POUPON | Marie Jeanne | 1872 | Journalier Cultivateur | o 1850 Ergué-Armel | ||
| 1865 | 1 | DUIGOU | Jean | Hemon | Marie | 1852 | Journalier | o 1824 Laz;29 | ||
| 1763 | 1 | FEUNTEUN | Allain | Credou | Julienne anne | 1761 | Tailleur | ? | ||
| 1678 | 1 | le | GAC | Guillaume | le | Brunou | Claudine | . | ||
| 1636 | 1 | GAC | Guillaume | Rannou | Marie | . | ||||
| 1822-1832 | 4 | le | GALL | René | PENNANEAC'H | Jeanne | 1821 | Cultivateur | o 1787 | |
| 1853 | 1 | GOYAT | Alain christophe | Hentic | Marie | 1852 | Journalier | o 1822 Elliant | ||
| 1756 | 1 | GRAVIO | Louis | le | Taridec | Marie françoise | 1755 | . | o Kerfeunteun | |
| 1879 | 1 | GUEGUEN | Hervé Marie | TROALEN | Marie Marguerite | 1872 | Journalier | o 1847 | ||
| 1793 | 1 | GUISQUET | Jean | NICOLAS | Marie Jacquette | 1789 | Métayer | o 1753 | ||
| 1868 | 1 | GUIVARCH | Michel Guinal | GOARIN | Marie Anne | Cultivateur | ||||
| 1818-1838 | 13 | HOSTIOU | Mathurin Guillaume | le | TARIDEC | Marie Jeanne | 1817 | Forgeron -Maréchal -Taillandier et Bedeau | o 1794 | |
| 1769-1875 | 3 | KERGOULLE | Hyérome | Mahé | Louise heleine | 1768 | Cultivateur Maire n°1 | o 1737 | ||
| 1787 | 1 | LAENNEC | Guillaume | Auffret | Marie | 1782 | Chef Meunier à Mezanlez | o 1748 | ||
| 1837 | 1 | LAGLEME | Hervé | le | Meur | Marie anne | 1833 | Journalier | o An9 | |
| 1791 | LOZACH | Alain | le | CLECH | Marie Laurence | 1783 | Aubergiste | o 1758 | ||
| 1846 | 1 | LOZACH | Pierre | le | Bihan | Marie jeanne | 1844 | Journalier | o 1821 | |
| 1835-1845 | 6 | MAHE | Jean François grégoire | Gouzien | Marie jeanne | 1831 | Cultivateur | o 1808 | ||
| 1879 | 1 | MAHE | Jean Guillaume | FLOCH | Marie Perrine | 1863 | Cultivateur | o 1839 fils | ||
| 1808 | MAHE | François | JAOUEN | Marie Perrine | An07 | Cultivateur | o 1769 frére du chef | |||
| 1788-1792 | 3 | le | MAHE | Joseph | Dannion | Anne | 1787 | Cultivateur actif | o 1765 veuf | |
| 1755-1769 | 5 | MAHE | Joseph | Seznec | Louise | 1743 | ? | o 1722 | ||
| 1791 | KERREUN | Jeanne | Domestique | idem | ||||||
| 1765 | 1 | MAHE | Joseph corentin | le | Caugant | Barbe | 1764 | Cultivateur actif | o 1741 veuf en 1791 | |
| 1764 | 1 | le | MEUR | Hervé | le | Queau | Anne | 1763 | Cultivateur | o elliant |
| 1816 | 1 | le | MOIGNE-MOENARD | Jean François | KERNEVEZ | Marie Catherine | 1834 | Maréchal | o 1809 | |
| 1793 | 1 | le | MOENNER | Allain | BOURGOT | Marie | 1783 | Menuisier | ? | |
| 1749-1753 | 2 | PENNANEACH | Louis | le | BORGNE | Catherine | 1739 | ? | o Ergué-Gabéric | |
| 1793 | 1 | PEREZ | Christophe | le | QUENNEUDER | Françoise | 1789 | ? | ||
| 1828 | 1 | le | PORIEL | Charles jérome | Coatmen | Anne | 1822 | Cultivateur, Journalier et Mendiant | o 1781 | |
| 1791 | le | QUENEUDER | Catherine | Domestique | o 1770 | |||||
| 1817 | 1 | QUEMERE | Jean François | le | CLOAREC | Marie catherine | 1865 | Cultivateur | o 1837 elliant | |
| 1791 | QUINIOU | Joseph | Domestique | o 1768 | ||||||
| 1793 | 1 | RANNOU | Hervé | le | Kernevez | Marie Anne | 1779 | Citoyen actif ? | o 1761 | |
| 1851-1857 | 3 | RANNOU | Pierre marie | Bouzard | Marie Perrine | 1847 | Journalier | o 1821 | ||
| 1846 | 1 | ROCUET | Laurent | Diverres | Marie urbanne | 1839 | Tailleur | o 1816 | ||
| 1782 | 1 | le | ROY | Jean | le | Coroller | Marie | 1764 | Journalier | o 1738 |
| 1871 | 1 | STERVINOU | François | CUZON | Marie Perrine | 1866 | Journalier | o 1838 coray | ||
| 1807-1814 | 4 | TREVIDIC | François | CALLOCH | Marie Anne | An7 | Adjoint Maire , Tisserand et meunier | o 1770 Meilars | ||
| 1876-1877 | 2 | TROALEN | Alain | POHER | Marie Catherine | 1868 | Cultivateur | o 1846 Elliant | ||
On remarquera la grande variétés des métiers autour de la chapelle et de l'auberge .
[modifier] 4.2 Généalogie familiale
Plusieurs générations d'une famille qui habite les lieux, les Mahé :
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Thème de l'article : Monographie d'un lieu-dit de la commune d'Ergué-Gabéric Date de création : novembre 2006 Dernière modification : 30.11.2011 Avancement : |