1940-1945 - Groupes de jeunes résistants gabéricois - GrandTerrier

1940-1945 - Groupes de jeunes résistants gabéricois

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<i>Des photos amateurs de jeunes résistants d'Ergué-Gabéric avant que les évènements et le sort ne s'acharnent contre eux (fusillade, déportation ...) : Fanch Balès, Jean Le Corre, Hervé Bénéat, Pierre Le Moigne, René Poupon ...</i> <i>Des photos amateurs de jeunes résistants d'Ergué-Gabéric avant que les évènements et le sort ne s'acharnent contre eux (fusillade, déportation ...) : Fanch Balès, Jean Le Corre, Hervé Bénéat, Pierre Le Moigne, René Poupon ...</i>
-Et aussi le groupe de déportés politiques pour lesquels il y a une incertitude d'identification, notamment sur la présence ou non de Jean Le Corre.+Merci à Guy Le Gars pour nous avoir communiqué ces deux photos. Quant au cliché Le Grand de "déportés politiques" pour lequel il y a une incertitude d'identification, notamment sur la présence ou non de Jean Le Corre, il provient du musée de Bretagne et du journal Ouest-France.
Autres lectures : {{Tpg|LE CORRE Jean - Récit d'un résistant déporté}}{{Tpg|Jean Le Corre (1920-2016), footballeur et résistant déporté}}{{Tpg|Rencontres filmées avec Jean Le Corre, ancien résistant et footballeur}}{{Tpg|Le coup du STO raconté par Jean Le Corre}}{{Tpg|Hervé Balès et le grand taxi populaire du casse du STO en 1944}} Autres lectures : {{Tpg|LE CORRE Jean - Récit d'un résistant déporté}}{{Tpg|Jean Le Corre (1920-2016), footballeur et résistant déporté}}{{Tpg|Rencontres filmées avec Jean Le Corre, ancien résistant et footballeur}}{{Tpg|Le coup du STO raconté par Jean Le Corre}}{{Tpg|Hervé Balès et le grand taxi populaire du casse du STO en 1944}}
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==Présentation== ==Présentation==
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-Ils étaient inséparables ces jeunes gens du bourg d'Ergué-Gabéric, nés dans les 1920. Dans son récit de résistant déporté, il les citent :+Ils étaient inséparables ces jeunes gens du bourg d'Ergué-Gabéric, nés dans les 1920. Dans son récit de résistant déporté, <u>Jean Le Corre</u> les cite :
-* « <i>J'habitais chez mes parents au bourg. Et c'est là que je continuais à rencontrer ma bande de copains d'enfance. Parmi eux, avant tout, Fanch Balès (<u>cf photo ci-dessous</u>), qui habitait le commerce attenant à la mienne</i> »+* « <i>J'habitais chez mes parents au bourg. Et c'est là que je continuais à rencontrer ma bande de copains d'enfance. Parmi eux, avant tout, <u>Fanch Balès</u>, qui habitait le commerce attenant à la mienne</i> » : cf photo ci-dessous
-* « <i>En face de chez mes parents, se trouvait l'école publique des filles, où habitait Jean Berri (<u>sur l'une des photos ci-dessous ?</u>), chez sa mère, institutrice</i> »+* « <i>En face de chez mes parents, se trouvait l'école publique des filles, où habitait <u>Jean Berri</u>, chez sa mère, institutrice</i> » : absents des photos ?
-* « <i>Dans le haut du bourg habitait également chez ses parents Pierre Le Moigne (<u>cf photo ci-dessous</u>), près de l'école des garçons</i> »+* « <i>Dans le haut du bourg habitait également chez ses parents Pierre Le Moigne, près de l'école des garçons</i> » : cf photo ci-dessous
-* « <i>Hervé Bénéat (<u>cf photo ci-dessous</u>) était aussi arrive dans le haut du bourg, chez Jean-Louis Thomas</i> »+* « <i><u>Hervé Bénéat</u> était aussi arrive dans le haut du bourg, chez Jean-Louis Thomas</i> » : cf photo ci-dessous
-* « <i>Et quelques autres : Pierre Kéraval, Louis Huitric, de Boden</i> » : <u>sur l'une des photos ci-dessous ?</u>+* « <i>Et quelques autres : <u>Pierre Kéraval</u>, <u>Louis Huitric</u>, de Boden</i> » : absents des photos ?
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-Apparemment Jean Le Corre n'a pas cité René Poupon qui apparait sur la 2e photo, laquelle est prise sur la rue de la mairie côté nord de l'église. +Apparemment Jean Le Corre n'a pas cité <u>René Poupon</u> qui apparait sur la 2e photo, laquelle est prise sur la rue de la mairie côté nord de l'église.
Quant à la 1ere photo, elle est prise dans une arrière cour, sans doute au domicile de l'un d'entre eux. Quant à la 1ere photo, elle est prise dans une arrière cour, sans doute au domicile de l'un d'entre eux.
-Quant aux exploits à l'actif de ces jeunes résistants, il y a bien sûr le célèbre casse des papiers du STO de Quimper qu'ils ont ensuite brulé dans le four à pain de Fanch Balès.+Poir ce qui concerne les exploits à l'actif de ces jeunes résistants, il y a bien sûr le célèbre casse des papiers du STO <ref name=STO>{{S.T.O.}}</ref> de Quimper qu'ils ont ensuite brulés dans le four à pain de Fanch Balès.
-Mais également, il y eut cet acte symbolique à la mairie Ergué-Gabéric, le 11 novembre 1940, fomenté par ce groupe, à savoir l'apparition d'un poème de Victor Hugo sur le tableau d'affichage : « <i>Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie, ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie</i> » (Hymne, Les chants du crépuscule).+Mais également, il y eut cet acte symbolique à la mairie Ergué-Gabéric, le 11 novembre 1940, fomenté par ce groupe, à savoir l'apparition d'un poème de Victor Hugo sur le tableau d'affichage : « <i>Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie, / Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie.</i> » <spoiler text="(texte complet)">Hymne, Les chants du crépuscule
 +<br>Victor Hugo (1802-1885)
 +<br>
 +<br>Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie
 +<br>Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie.
 +<br>Entre les plus beaux noms leur nom est le plus beau.
 +<br>Toute gloire près d'eux passe et tombe éphémère ;
 +<br>Et, comme ferait une mère,
 +<br>La voix d'un peuple entier les berce en leur tombeau !
 +<br>
 +<br>Gloire à notre France éternelle !
 +<br>Gloire à ceux qui sont morts pour elle !
 +<br>Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts !
 +<br>À ceux qu'enflamme leur exemple,
 +<br>Qui veulent place dans le temple,
 +<br>Et qui mourront comme ils sont morts !
 +<br>
 +<br>C'est pour ces morts, dont l'ombre est ici bienvenue,
 +<br>Que le haut Panthéon élève dans la nue,
 +<br>Au-dessus de Paris, la ville aux mille tours,
 +<br>La reine de nos Tyrs et de nos Babylones,
 +<br>Cette couronne de colonnes
 +<br>Que le soleil levant redore tous les jours !
 +<br>
 +<br>Gloire à notre France éternelle !
 +<br>Gloire à ceux qui sont morts pour elle !
 +<br>Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts !
 +<br>À ceux qu'enflamme leur exemple,
 +<br>Qui veulent place dans le temple,
 +<br>Et qui mourront comme ils sont morts !
 +<br>
 +<br>Ainsi, quand de tels morts sont couchés dans la tombe,
 +<br>En vain l'oubli, nuit sombre où va tout ce qui tombe,
 +<br>Passe sur leur sépulcre où nous nous inclinons ;
 +<br>Chaque jour, pour eux seuls se levant plus fidèle,
 +<br>La gloire, aube toujours nouvelle,
 +<br>Fait luire leur mémoire et redore leurs noms !
 +<br>
 +<br>Gloire à notre France éternelle !
 +<br>Gloire à ceux qui sont morts pour elle !
 +<br>Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts !
 +<br>A ceux qu'enflamme leur exemple,
 +<br>Qui veulent place dans le temple,
 +<br>Et qui mourront comme ils sont morts !</spoiler>
 +Lequel poème se poursuit par un « <i>Gloire à notre France éternelle ! / Gloire à ceux qui sont morts pour elle ! / Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts ! / À ceux qu'enflamme leur exemple, / Qui veulent place dans le temple, / Et qui mourront comme ils sont morts !</i> », ce qui ne manqua pas d'effrayer et agacer Pierre Tanguy, le maire de l'époque.
|} |}
==Photos de résistants== ==Photos de résistants==
 +===Photographie n° 1===
 +[[Image:JLC-Résistant-1.jpg|649px|center]]
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* 1 Hervé Bénéat * 1 Hervé Bénéat
* 2 * 2
* 3 * 3
-* 4 +* 4 Alain Bénéat <ref>Alain Bénéat, ménuisier à Garsalec (construira ensuite une maison à Penn-Carn), est le frère de Jean Bénéat.</ref>
-|width="50%" valign="top"|+|width=33% valign=top|
-* 5 Un sportif de l'AEG+* 5 Alain (?) Le Moigne <ref>Le Moigne : sportif de l'AEG.</ref>
* 6 Fanch Balès * 6 Fanch Balès
* 7 Jean Le Corre * 7 Jean Le Corre
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-|width=48% valign=top {{jtfy}}|+===Photographie n° 2===
 + 
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* 1 René Poupon * 1 René Poupon
* 2 * 2
* 3 * 3
* 4 Pierre Le Moigne * 4 Pierre Le Moigne
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* 5 * 5
* 6 * 6
* 7 Jean Le Corre * 7 Jean Le Corre
* 8 Fanch Balès ? * 8 Fanch Balès ?
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-==Comité d'accueil==+==Photo du comité d'accueil==
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Version actuelle

Catégorie : AudioVisuel
Rubrique : Photos militaires
Encyclopédie : GrandTerrier

Statut de l'article :
  Image:Bullorange.gif [développé]

Des photos amateurs de jeunes résistants d'Ergué-Gabéric avant que les évènements et le sort ne s'acharnent contre eux (fusillade, déportation ...) : Fanch Balès, Jean Le Corre, Hervé Bénéat, Pierre Le Moigne, René Poupon ...

Merci à Guy Le Gars pour nous avoir communiqué ces deux photos. Quant au cliché Le Grand de "déportés politiques" pour lequel il y a une incertitude d'identification, notamment sur la présence ou non de Jean Le Corre, il provient du musée de Bretagne et du journal Ouest-France.

Autres lectures : « LE CORRE Jean - Récit d'un résistant déporté » ¤ « Jean Le Corre (1920-2016), footballeur et résistant déporté » ¤ « Rencontres filmées avec Jean Le Corre, ancien résistant et footballeur » ¤ « Le coup du STO raconté par Jean Le Corre » ¤ « Hervé Balès et le grand taxi populaire du casse du STO en 1944 » ¤ 

[modifier] Présentation

Ils étaient inséparables ces jeunes gens du bourg d'Ergué-Gabéric, nés dans les 1920. Dans son récit de résistant déporté, Jean Le Corre les cite :

  • « J'habitais chez mes parents au bourg. Et c'est là que je continuais à rencontrer ma bande de copains d'enfance. Parmi eux, avant tout, Fanch Balès, qui habitait le commerce attenant à la mienne » : cf photo ci-dessous
  • « En face de chez mes parents, se trouvait l'école publique des filles, où habitait Jean Berri, chez sa mère, institutrice » : absents des photos ?
  • « Dans le haut du bourg habitait également chez ses parents Pierre Le Moigne, près de l'école des garçons » : cf photo ci-dessous
  • « Hervé Bénéat était aussi arrive dans le haut du bourg, chez Jean-Louis Thomas » : cf photo ci-dessous
  • « Et quelques autres : Pierre Kéraval, Louis Huitric, de Boden » : absents des photos ?
 

Apparemment Jean Le Corre n'a pas cité René Poupon qui apparait sur la 2e photo, laquelle est prise sur la rue de la mairie côté nord de l'église. Quant à la 1ere photo, elle est prise dans une arrière cour, sans doute au domicile de l'un d'entre eux.

Poir ce qui concerne les exploits à l'actif de ces jeunes résistants, il y a bien sûr le célèbre casse des papiers du STO [1] de Quimper qu'ils ont ensuite brulés dans le four à pain de Fanch Balès.

Mais également, il y eut cet acte symbolique à la mairie Ergué-Gabéric, le 11 novembre 1940, fomenté par ce groupe, à savoir l'apparition d'un poème de Victor Hugo sur le tableau d'affichage : « Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie, / Ont droit qu'à leur cercueil la foule vienne et prie. » § (texte complet)

Lequel poème se poursuit par un « Gloire à notre France éternelle ! / Gloire à ceux qui sont morts pour elle ! / Aux martyrs ! aux vaillants ! aux forts ! / À ceux qu'enflamme leur exemple, / Qui veulent place dans le temple, / Et qui mourront comme ils sont morts ! », ce qui ne manqua pas d'effrayer et agacer Pierre Tanguy, le maire de l'époque.

[modifier] Photos de résistants

[modifier] Photographie n° 1

 1  2  3  4
   5  6  7
  • 1 Hervé Bénéat
  • 2
  • 3
  • 4 Alain Bénéat [2]
  • 5 Alain (?) Le Moigne [3]
  • 6 Fanch Balès
  • 7 Jean Le Corre

[modifier] Photographie n° 2

 1  2  3  4
 5  6  7  8
  • 1 René Poupon
  • 2
  • 3
  • 4 Pierre Le Moigne
  • 5
  • 6
  • 7 Jean Le Corre
  • 8 Fanch Balès ?


[modifier] Photo du comité d'accueil

Cette photo conservée au musée de Bretagne de Rennes, signée du photographe Etienne Le Grand, datée du 9 juin 1945 et ce titre « Quimper retour de déportés politiques ». On y voit 3 déportés sur le quai de gare, derrière un drapeau « déportés politiques », et entourés d'un comité d'accueil d'amis et de parents.

Elle a été également publiée dans un numéro hors-série d'Ouest-France « Le Finistère en guerre. 1940-1950 » en 2005. Certains lecteurs gabéricois affirment reconnaitre Yves Le Corre (le 3e debout à gauche), ancien déporté lui aussi, et ce jour-là en costume et cravaté.

 

Mais est-ce vraiment possible : Yves Le Corre est revenu de déportation à Quimper le 12 mai 1945, soit moins d'un mois auparavant, apparemment maigre et très faible : « même après un mois soignés par les américains, nous n'avions pas pris de poids ou très peu (37-38 kg) » ; « j'ai mis un an à me remettre. J'ai eu, après quelques mois, un œdème généralisé » (Récit d'un résistant déporté).

La 3e personne sur la photo du 9 juin semble en bonne santé. Vraisemblablement ce n'est pas Jean Le Corre.


[modifier] Annotations

  1. Le Service du travail obligatoire (STO) fut, durant l'occupation de la France par l'Allemagne nazie, la réquisition et le transfert contre leur gré vers l'Allemagne de centaines de milliers de travailleurs français, afin de participer à l'effort de guerre allemand que les revers militaires contraignaient à être sans cesse grandissant (usines, agriculture, chemins de fer, etc.). Les personnes réquisitionnées dans le cadre du STO étaient hébergées dans des camps de travailleurs situés sur le sol allemand. À la fin de l'année 1942 ils étaient seulement 240 000. Les autorités Allemandes et Françaises organisèrent alors un recensement général des travailleurs Français et tentèrent d'imposer à tous les inactifs de trouver un emploi. Dans chaque ville importante, un service administratif du STO, dépendant d'une Feldkommandantur, était chargé de gérer les dossiers et de la désignation des « déportés du travail ». [Ref.↑]
  2. Alain Bénéat, ménuisier à Garsalec (construira ensuite une maison à Penn-Carn), est le frère de Jean Bénéat. [Ref.↑]
  3. Le Moigne : sportif de l'AEG. [Ref.↑]


Thème de l'article : Photographie d'antan

Date de création : avril 2016    Dernière modification : 25.02.2022    Avancement : Image:Bullorange.gif [Développé]

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